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L’après Fan-Gate ! Quels sont vos retours ?

Après un peu plus d’un mois d’interdiction du « j’aime » obligatoire pour les jeux-concours, quels sont vos retours ?

Début novembre marquait la fin du « j’aime obligatoire » mis en avant par les marques, pour leurs jeux-concours Facebook. Un moyen rapide de gagner des fans mais qui au final ne permettait pas un gain réel en terme d’engagement. Après plus d’un mois, qu’en est-il des marques, des entreprises et tout ceux ayant recours aux jeux-concours pour booster leur fan page ? Est-ce que les résultats sont décevants, est-ce que les parades fonctionnent ?…

Quels sont vos retours sur le sujet ?

ReflexeMedia poursuit peu à peu son chemin en proposant différents services pour les jeux concours sur votre site internet. Accessible depuis la plateforme de création de jeux-concours, ReflexeMedia permet de créer des campagnes personnalisées avec une compatibilité au niveau des mobiles, réel intérêt quand on sait que la mobilité gagne des parts de marché considérables au fil des mois. Demain on consultera principalement son smartphone pour une grande partie de nos usages de tous les jours; achats, réservations, conversations, partages, échanges et bien entendu la pratique assidue des réseaux sociaux. ReflexeMedia apporte ici un net plus pour les acteurs professionnels et la clientèle nomade.

Les coûts restent inchangés puisqu’ils restent à 35 € HT pour la création de votre jeu-concours, a cela n’oubliez pas votre règlement en ajoutant vos frais de dépôt chez huissier pour votre règlement. ReflexeMedia propose toujours une offre gratuite jusqu’au 31 décembre 2014, profitez-en rapidement.

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N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques sur votre perception des changements depuis la fin de la fan-gate. Avez-vous des idées à apporter, des remarques à formuler… à vous de nous donner vos avis en commentaires

 

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La condamnation du community management !

La condamnation du community management ! Quand tout devient payant… comment sortir de cette prison ?

Voilà que tout devient payant pour être vu… et le community manager, lui ! risque d’être mis à l’ombre

Animateur de communauté à perpétuité

Community-Manager-condamné

La bonne blague s’esclaffe le community manager ! J’aimerais bien faire un peu autre chose qu’animer dans le fond, car comment vendre la difficulté croissante de l’engagement ? Où cherchez la manne parmi les internautes connectés au réseau des réseaux ? tout devient payant pour être visible, et plus ça va, plus les faiseurs de la pluie et du beau temps du net s’y collent.  Aucun moyen d’être vu sans raquer un minimum, si ce n’est en utilisant intelligemment les réseaux sociaux, et via aussi son propre réseau de connaissances.

Comment ne pas être enfermé à perpétuité dans l’animation de communautés ? Il faut vite sortir de cette spirale avant que tout devienne payant, car les entreprises n’auront pas toute la main prête à dégainer le sou. Et le métier de community manager risque de prendre une claque si on ne se spécialise pas un peu vers le marketing digital et les notions de rentabilité de l’entreprise. Le fun,  c’est périodique et ce n’est pas qualitatif, sauf chez ceux qui maintiennent des gros budgets de communication, et encore ! Combien de temps va tenir l’histoire si on n’a pas de réels clients en face et un minimum de récurrence ? Faire acte de présence, oui mais jusqu’où ?

On voudra peut-être des community managers plus « intelligents », et sans doute avec un réseau personnel conséquent pour tenter un premier pas vers le like amical de bonne guerre (ça s’est vu)… et quoiqu’on en dise c’est omniprésent au quotidien ! Pure hypothèse ? néanmoins à y voir de plus près, la communication online prend et prendra la même direction que le print en terme de budget. Le gratuit commence vraiment à être relégué et les blogs n’adoptant pas de modèle économique qui rapporte au grand Google, se voient déjà peu à peu rétrogradés.

Les solutions restent minimes !

Même si elles existent, elles non plus ne sont sans doute pas gratuites. Il faut relativiser néanmoins car à choisir dans le monde du payant, autant le faire avec intelligence et que ça puisse rapporter un peu de lectorat en maximisant sa présence. C’est aussi ce que tout le monde souhaite, il faut donc être serein et réaliste… il faut écrire, travailler, être un peu créatif et apprendre par l’expérience et les erreurs. Il faut pousser un peu sur les réseaux où le partage est présent comme Twitter. Il faut apprendre à se tisser son réseau avec des profils tournant autour des thématiques abordées, et y privilégier surtout ceux qui assurent du partage en retweetant.

Petite parenthèse quand on cherche dans la gratuité et l’économie substantielle : S’il faut pousser un peu, certains parleront et feront ressortir le spam, le flood et que sais-je encore sur les pratiques marketing et celles assimilées, mais après tout ! si certains préfèrent payer au roi des réseaux de coquettes sommes d’argent pour un ciblage plus que moyen, ça les regarde. Il faudra juste éviter ainsi de crier sur les toits que tout système d’engagement, de gain de fans ou bien de recherche de likes, est bien mieux que de faire comme ceci ou comme cela ! Allons ! un peu de bon sens. Quel est le résultat ? Avez-vous un véritable engagement par la suite ? Vous payez pour des fans ? mais où sont-ils passés ensuite ? vous échanger des likes ? où passent les likeurs ? Où passe tout ce monde ? amis, likeurs de passage… tout est une différence entre gratuit et payant avec les mêmes êtres humains derrière, et le gain est parfois quasi nul ! Seuls les amis restent parfois les plus engagés ! Mais là se glissera aussi la critique.

En clair ! et si on regarde les résultats, ils ne sont pas meilleurs dans un cas ou dans un autre, c’est juste un combat entre le gratuit et le payant et les pratiques pros contre des pratiques jugées parfois inacceptables… bien que nombreux sont ceux qui les utilisent, sans le crier sur les toits !

Travailler sur le long terme… Tout le monde le dit, et à juste titre d’ailleurs…

…mais votre boss, il en pense quoi quand vous lui dites qu’il devra attendre un R.O.I. dans 1, 2 voir 3 ans ? C’est là qu’il faut évangéliser et savoir prendre position.

Les solutions semblent donc alors ailleurs que dans la précipitation… il faut de la patience et travailler sans esprit de compétition. Le manque à gagner se trouve dans l’évangélisation, dans le martèlement, non pas des les pratiques d’acquisition, mais dans la prise de parole pour faire état de la nécessité à travailler en profondeur et sur la durée. Ne pas attendre un résultat du jour au lendemain, sinon on a vite fait d’avoir recours aux stéroïdes du social media ou aux pilules miracles. Elles, qui rapporteront bien plus d’argent au passage à ceux qui se seront engouffrés dans leurs ventes… la critique leur passe au dessus de la tête depuis des lustres. Ils gagnent de l’argent en vous vendant du rêve, et vous, vous trimez ! c’est la triste vérité ! Elle se vérifie dans quasiment tous les domaines du business.

Alors pour sortir de prison…. attendez de purger votre peine dans la patience et vous verrez qu’au bout, vous finirez par émerger si votre travail s’inscrit dans la qualité et la durée

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Pensez sérieusement au community management !

Il est temps de se mettre au community management pour avancer dans le digital !

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Progresser sur le plan digital demande du temps et de l’investissement en humain. Rédiger du contenu, le diffuser, et suivre les courbes de progression de sa visibilité, sont à eux seuls des points indispensables pour soigner son image de marque et démarrer dane la sphère d’internet. On ne le répétera sans doute jamais assez, mais pensez sérieusement au pôle community management pour votre entreprise, même s’il vous semble que vous maitrisez internet, vous n’aurez pas le temps de tout superviser et de gérer seul votre société sans faire de très gros sacrifices.

Pourquoi le community management est important et doit être mieux compris ?

Avoir un community manager à ses côtés et miser sur son rôle aura pour conséquence de prendre au sérieux l’empreinte digitale de votre entreprise, mais pas que ! Toute entreprise désireuse de se lancer sur internet afin de diffuser son offre de produits et/ou services, nécessitera plusieurs axes à déployer pour parfaire son entrée sur la toile.

En premier lieu il conviendra de définir ses objectifs et d’identifier ses besoins pour y parvenir. Viendra ensuite le développement d’une stratégie pour avoir une ligne de conduite et savoir quelle direction prendre parmi les choix qui s’offriront à vous. Il sera par exemple indispensable d’opter pour les réseaux sociaux qui vous apporteront de la visibilité en rapport de votre expertise… Facebook sera t’il adapté, Twitter répondra t’il à vos exigences ? etc… Toute cette partie sera à travailler conjointement avec votre community manager si vous n’avez pas une grosse structure avec des services communication et/ou marketing. C’est ici que le rôle d’un community manager prendra toute son ampleur.

Il est donc important d’avoir cet atout au sein de votre société, afin de vous guider sur votre stratégie digitale et ensuite de la déployer sur les différents supports retenus. Le community manager pourra ensuite créer du contenu et le diffuser pour démarrer votre présence et vous assurez de la visibilité au fil du temps. Il pourra ainsi suivre l’évolution du travail mis en place et pourra vous conseiller sur des ajustements, et éventuellement sur des actions à mettre en place comme des jeux-concours via Facebook qui vous permettront de gagner vos premiers fans. N’hésitez pas à consulter notre offre à ce sujet : ReflexeMedia.

Comment mesurer un retour sur investissement ?

Le ROI est toujours un sujet épineux à aborder dans le digital, parce que d’une part vous avez des responsables qui cherche à obtenir un résultat rapide, et de l’autre côté des chef de projets ou autres personnes qui ne parviennent pas à mesurer réellement le ROI dans le digital. Pour mesurer un ROI, il est donc impératif de définir des objectifs en amont, et on ne parle pas ici d’objectifs commerciaux ou d’un certain chiffre à réaliser. Il est important de ne pas lier votre community manager à la performance pour éviter une course effrénée au chiffre, qui manquerait de qualifier son travail en privilégiant un résultat coute que coute.

Un ROI ça vaut aussi pour des objectifs de présence, de gain d’abonnés, de fans… sur les réseaux sociaux que vous aurez retenu pour mettre en avant votre expertise.

Exemple :

Le community manager aura pour objectif de rédiger 8 contenus par mois, soit 2 par semaine. A cela s’ajoute leur diffusion via les différents réseaux sociaux avec un objectif de gain d’abonnés que l’on pourrait fixer entre 100 et 200 par mois sur Twitter et peut-être 100 sur Facebook hors actions de jeux-concours jusque-là.

Déterminer une phase d’interaction pour ouvrir le dialogue et rechercher les intérêts de vos fans en les amenant à participer à la vie de votre communauté (Fan page Facebook, Twitter…) En partageant vos posts sur Twitter et sur Facebook, vous pourrez suivre également l’évolution des visites sur votre site et voir comment elles évoluent d’un mois sur l’autre. Voyez si des interactions se font sur d’éventuels Call-To-Action que vous auriez mis en place pour télécharger des livres blancs par exemple ou pour s’abonner à une newsletter. Toutes ces actions et leurs suivis sont tout à fait dans la lignée d’un ROI dans le digital. Si vous atteignez vos objectifs tels que ceux définis en amont, alors votre community manager est rentable et il participera bien à l’évolution de votre entreprise afin de la faire connaitre, et de lui assurer une visibilité sur le terrain du net.

En conclusion

Ne négliger pas le rôle d’un community manager quand vous décidez de faire d’internet un nouveau terrain pour développer votre business, ou tout simplement pour travailler votre présence, la redresser, l’améliorer, la maximiser… il y a beaucoup d’axes possibles à travailler en community management. Il faut bien intégrer que c’est un poste qui consomme du temps et donc de l’énergie, et seul on ne peut parvenir à des résultats qualitatifs sans un appui sur lequel compter pour son développement.

Pensez-y sérieusement ! le community management est la solution à un véritable travail de fond sur internet pour vous développer

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Comprendre la portée des contenus sur Facebook

Qu’en est-il de la portée des contenus sur Facebook ?

Beaucoup se posent la question de savoir comment un internaute s’engage envers une marque… ou encore au final, est-il vraiment engagé ? Pour comprendre comment fonctionne l’engagement sur une Fan page Facebook, il est primordial de comprendre premièrement les éléments concernant la portée (reach) organique ou payant. Vous décidez de payer à partir du moment où vous souhaitez augmenter la portée de votre post (contenu) et ainsi d’obtenir plus d’impressions. Pour saisir ces paramètres voici un peu le vocabulaire à comprendre qui est celui notifié par Facebook à ce sujet :

Petit lexique de la portée sur Facebook 

La Portée

Facebook : Nombre de personnes à qui votre publicité a été diffusée.

Il faut distinguer ici une petite nuance entre la portée et la vue. La portée est liée à l’impression mais ça ne veut pas dire que l’internaute a forcément vu votre publicité ou votre contenu. Elle a été diffusé dans son fil et on imagine qu’il l’a vu.

La Portée sociale

Facebook : Nombre de personnes auxquelles votre publicité a été diffusée avec des informations sociales. Par exemple, si trois personnes voient deux fois chacune une publicité indiquant qu’un(e) ami(e) aime votre Page, trois portées sociales sont comptabilisées.

Cette information peut être importantes pour croiser les données de visibilité de vos publicités.

La Portée potentielle

Facebook : La portée potentielle correspond au nombre approximatif de personnes que vos publicités peuvent toucher, en fonction de vos critères de ciblage.

Quand vous aurez recours au système de publicité ads Facebook, on vous donnera une portée potentielle comprise entre 2 chiffres. Elle n’est pas exhaustive compte tenu de l’écart considerable entre les 2 chiffres proposés. Retenez le plus petit des 2 pour ne pas être déçu du résultat.

Quelle est la différence entre la portée organique et la portée payée ?

Facebook : La portée organique représente le nombre total de personnes ayant vu vos publications par le biais d’une distribution non payante. La portée payée correspond au nombre total de personnes ayant vu votre publication suite à une publicité.

On distingue ici la nature d’un contenu sponsorisé, donc payant, ou pas, tout simplement.

Quelle est la différence entre les impressions et la portée ?

Facebook : Les impressions mesurent le nombre de visualisations d’une publication de votre Page, indépendamment du fait que l’utilisateur ait cliqué ou non sur cette publication. Les utilisateurs peuvent visualiser la même publication plusieurs fois. Par exemple, une personne peut visualiser une mise à jour de la Page pour la première fois dans le fil d’actualité, puis une deuxième fois si l’un de ses amis la partage. La portée mesure le nombre de personnes ayant reçu des impressions d’une publication de la Page. La portée peut être inférieure aux impressions, puisqu’une personne peut visualiser plusieurs impressions.

On compare parfois ce principe aux VU et aux visiteurs. A savoir Visiteur Unique (nombre de personnes différentes ayant vu une publication) et le nombre de visites qui lui comprend l’ensemble des visites que feront chaque visiteur, que ce soit 1 ou 10 fois. Le nombre de visites est donc toujours supérieur (rarement équivalent) au nombre de Visiteurs Uniques

Si la portée organique est en baisse, à quoi bon posséder une Page ?

Facebook : Malgré une baisse de la portée organique, votre Page peut quand même vous aider à vous faire connaître, à établir des relations avec votre public et à disposer d’une présence en ligne gratuite automatiquement optimisée sur le web, les téléphones mobiles et les tablettes.

Une réponse hélas toute faite de la part de Facebook, qui n’aide pas à en savoir davantage sur le phénomène de la baisse de la portée qui est bien réelle.

Avec un petit rappel de ce vocabulaire, vous comprendre plus facilement comment faire la différence entre les différentes portées et les impressions. Grâce à cela vous parviendrez plus facilement à analyser vos pages et à ainsi améliorer votre visibilité. N’ayons pas peur des mots, il est clair qu’améliorer sa visibilité passera par le mode payant de Facebook. Etudiez-bien la question avant de vous lancez.

Si vous souhaitez aller plus loin pour comprendre le classement de votre page et ce qu’il en ressort des j’aime récoltés et de la portée de vos posts, testez cet outil où vous aurez juste à renseigner l’url de votre fan page : Likealyzer

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Le community manager doit-il évoluer ?

Le community manager ! ça fait déjà un moment qu’on dit que c’est un métier nouveau, un métier indispensable pour les marques qui communiquent sur le net (cad quasiment toutes) un métier qui va évoluer, un métier qui va se tourner vers l’avenir avec la montée du digital… etc… etc… Bilan ? Est-ce que le community management doit évoluer pour sortir un peu du cadre actuel et se refaire une santé, et attirer vraiment les sociétés en manque d’information sur ce rôle majeur pour les acteurs du net ?

Il est temps que le community management prenne un véritable envol !

Je pense qu’il serait temps que les choses évoluent si on veut voir plus de CDI habiller les jobboards de la toile ! Pour l’instant c’est maigre et on n’ose presque plus prendre connaissance d’une annonce, qui parfois tente même de dissimuler au postulant qu’il s’agit d’un stage. Fini de raconter aussi que le stagiaire pourra se voir confier un vrai poste en fin de mission… Les stagiaires semblent bien plus faire le bonheur des startups, qui n’ont que quelques euros à verser au bon samaritain du net ! Pour le reste passez votre tour, ou sinon armez-vous de patience, et soyez prêt avec un solide bagage ! Comment ça vous n’avez pas de bagage ! vous démarrez le métier et vous ne justifiez pas de 5 ans d’expériences minimum ? mais pourquoi donc persévérez alors ?

Peut-on rire de cela ? j’en doute fort si on se plait à être sérieux 5 minutes. Pourquoi avoir fait tant de tapage autour d’un métier qui peine à être reconnu dans notre pays, qui semble même être excommunié par la reconnaissance.

Alors oui ! le community management doit évolué si il ne veut pas perdre des plumes en route, et à ce titre il devrait profiter du décollage en trombe de la mobilité, et se laisser porter vers de nouveaux cursus florissants à la porte des grandes écoles. Est-ce là le mieux que l’on puisse espérer ? A moins de se lancer comme un bon indépendant dans une profession qui en recense déjà un bon paquet ! C’est certes une belle aventure avec un cap à surmonter, et si l’évolution du métier s’apprend ainsi plus facilement an mode entrepreneur, il ne faut pas négliger cette voie.

Vers quelle direction faire évoluer le community management ?

Si on observe un peu les tendances, les nouvelles technologies et les marques qui réinventent la communication, on aura ici un panel suffisamment large d’idées pour voir où peu aller le community management pour évoluer, ou au moins se spécialiser autour d’une discipline.  La mobilité est un de ces vecteurs porteur pour le community management, et j’ai eu l’occasion d’en parler à plusieurs reprises pour monter qu’il y a un véritable potentiel dans les contenus d’un nouveau genre, le marketing mobile et les actions autour de l’évènementiel. Rien n’empêche le community manager de se forger une e-réputation, de saisir sa plume et de montrer sa spécialité, ses idées, partager sa vision du métier et plus encore le vivre par passion en le transmettant à d’autres. On estime qu’un community manager sait au minimum rédiger ! et à ce titre je trouve dommage que beaucoup n’utilisent pas ce talent pour partager. Si il y a bien un moment où faire état de son métier, c’est au travers de l’écrit au sein d’un blog qu’il soit collaboratif ou personnel. C’est un terrain d’entrainement, une formation et en même temps un moyen d’expression apprécié des recruteurs.

Pour reprendre il est donc essentiel que le community manager évolue… non pas en compétences pour en ajouter d’autres ! mais plutôt en cherchant la spécialisation, à la vue des nouvelles tendances qui pointent le bout de leur nez ! La mobilité, c’est un fait établi que ce sera un marché porteur et où il y aura des recrutements ! il faut être positif et y croire, sinon à quoi bon poursuivre. Maintenant que le community manager tend de plus en plus vers le marketing digital, il est aussi temps pour les premiers CM de rééquilibrer ses compétences. Pratiquer des outils dédiés aux métriques et apprendre un peu plus le ROI sur des actions digitales, aideront certainement à avoir un discours plus aiguisé. En clair même si le CDI n’est pas là, il faut continuer à se former, à apprendre et à réseauter pour faire circuler son CV.

La direction semble donc être la mobilité, le marketing mobile et donc les contenus adaptés aux smartphones. Il y a certainement d’autres pistes, mais voici les évolutions possibles.

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Changement de cap pour les jeux-concours Facebook !

Avec la fin du like-gating Facebook dés le 5 novembre, il va falloir redoubler de créativité du côté des solutions comme du côté des clients

Le like-gating également appelé fan-gate est un passage obligatoire au like pour parvenir au contenu d’un jeu-concours organisé par un tiers. Il garanti ainsi pour la marque le like tant convoité, qui transforme le likeur en « pseudo » fan de la page Facebook. L’intérêt de cette pratique est de permettre un apport massif de fans lors d’une opération qui durera en moyenne entre 2 et 4 semaines. La marque récupère d’ailleurs au passage toutes les adresses mails des contacts, afin de leur permettre de communiquer à nouveau par la suite sans passer par la case Facebook. Cet ensemble promotionnel est un coup gagnant pour les organisateurs de jeux-concours, les marques, tout comme les agences qui exploitent ces missions en tant qu’intermédiaires.

A ce titre Facebook se justifie en annonçant qu’il ne souhaite plus la promotion forcée, pour être fan d’une page ou d’un contenu. C’est donc à partir du 5 novembre de cette année qu’entrera en vigueur cette interdiction concernant le like-gating. Il est clair qu’en ce moment et déjà en amont, ont commencé à réfléchir les acteurs du jeu-concours et ceux qui y ont recours régulièrement. Ils existent des solutions, mais il faut aussi admettre que les retours qu’elles occasionneront seront de moindre portée. Se pose alors la question de savoir si il est nécessaire de trouver d’autres solutions ou de poursuivre en recherchant davantage le qualitatif plutôt que le quantitatif.

On peut d’ailleurs découvrir une réflexion sur le like-gating sur le blog du Journal du CM  : La fin du like-gating

Un rendez-vous est déjà fixé au 6 novembre

On pourra sans chercher à spéculer sur les solutions apportées, se donner rendez-vous chez les acteurs le 6 novembre pour voir comment chacun va réagir. ReflexeMedia a déjà sa solution et ce sera avec plaisir que nous vous accueillons pour la mettre en pratique lors de vos futures opérations promotionnelles.

Du côté des clients / utilisateurs de solutions de jeux-concours, il sera non moins intéressant de voir comment ils comptent procéder pour parvenir à fidéliser et engager différemment. Le jeu-concours restera toujours un axe de choix mais il se pourrait que pour une fois la qualité l’emporte et draine de nouvelles créations allant dans ce sens. Je suis particulièrement attentif à ce qui va se faire dans les mois à venir, et ne manquerai pas de partager une offre intéressante pour vous la détailler.

Petite conclusion

On ne peut pas dire que cela sera un choc, tant les acteurs, les marques… ne restent pas en manque d’inspiration. Certains avaient peut-être anticipé cette interdiction, tout en travaillant sur la créativité d’offres pour pallier au fin du like-gating. Il est toujours plaisant de voir qu’un renouveau arrive et qu’il puisse apporter de réelles nouveautés et de campagnes riches qui mériteront un suivi. En attendant je vous propose de débattre sur le sujet en commentaire.

Pour ou contre la fin du like gating ? Qu’est-ce que ça peut apporter selon vous côté utilisateur ?

Twitter-ReflexeMedia

Twitter reste notre meilleur allié social media !

Chaque business se doit d’avoir un modèle économique pour assurer sa pérennité ! et c’est la même chose pour nos chers réseaux sociaux

Fort heureusement pour nous, il y a des sociétés qui pendant quelques années nous offrent la gratuité de leurs services. Ensuite il est tout à fait légitime et logique pour elles de basculer sur un modèle payant, afin de continuer à exister sur la toile. Ce sont nos vilaines habitudes à la gratuité qui sont bousculées, lorsqu’elles changent et deviennent payantes ça irrite un peu le portefeuille !

Ce qu’il en est de Facebook

La problématique avec les réseaux sociaux, c’est que la gratuité nous a toujours permis jusqu’ici de partager et de nous assurer un minimum de visibilité. Et à présent il semble que ce temps soit révolu, il est de mise depuis quelques temps maintenant de mettre la main au porte-monnaie pour tout juste être vu ! un comble si on considère qu’au sein d’un réseau social, on a un cercle d’amis envers qui on aimerait bien demeurer visible sans avoir à tripoter un tas de réglages. Bon d’accord ! tous ne sont pas de vrais amis au sens propre du terme, mais tout de même ! Certains ont construit leur propre réseaux de connaissances, de socio-profils qui leur ressemble, et j’en passe !

Au bout du compte on s’attend tout de même à mettre un pied dans leur champ de vision… sauf que ! il en est tout autrement avec les nombreux changements qu’opère le réseau des réseaux. On affine les centres d’intérêts de chacun, on masque par défaut des éléments… et au final on appâte l’internaute avec un vaste territoire, où se côtoient plus d’un milliard de personnes avec des données qui les différencient en de nombreux points. Toutes ces années ont pu permettre de recenser les besoins, les désirs, les affinités, les gouts etc… etc… de chacun des membres de Facebook ! Maintenant que c’est stocké, il va falloir raqué pour aller voir être montré à ton voisin et la communauté des gens qui t’intéressent. Super ! Mais après tout, il faut bien gagner sa vie et monnayer son business pour être rentable et poursuivre l’accès à un vaste univers de services qu’offre Facebook à ce jour.

Au final ! rien à dire. C’est tout à fait normal, sauf que ça ne nous arrange pas quand on compte sur ce réseau pour vivre également.

Quel serait l’alternative pour s’offrir un peu de visibilité ?

Au niveau des réseaux sociaux, il y en a encore qui assurent une bonne visibilité pour les internautes de tout horizon ! si nous devions en retenir un parmi les nombreux existants, je dirais que ce serait Twitter. Le réseau social à l’oiseau bleu est encore celui qui ne ferme pas les portes au partage et à la visibilité, bien que cela puisse changer mais j’en doute vu qu’il n’est pas encore pleinement rentable en l’état. On pourrait parler de Google Plus mais j’ai peur qu’il soit plus restreint qu’on ne veuille bien le dire. Vous êtes automatiquement titulaire d’un compte Google Plus dès lors que vous possédez une adresse GMail… ce n’est donc pas très représentatif au final. Je dirais que les communautés sont par contre assez intéressantes, mais elles ne sont pas non plus destinées à partager de la même manière qu’une page.

Je reste donc sur Twitter, comme étant notre meilleur allié social media.

Twitter ! idéal pour partager et gagner en visibilité…  gratuitement !

Twitter demeure ce réseau social où il est encore possible de se constituer une base de contacts, sans avoir une limite fixée à 5000 où je ne sais combien d’abonnés. Chacun est libre de suivre qui il veut et réciproquement. Certes Twitter possède son modèle économique, mais il est encore loin d’être rodé tant son algorithme peine à distinguer les centres d’intérêts des profils. Faites l’essai d’allouer un petit budget pour récupérer des abonnés… vous serez surpris de constater qu’il est parfois plus pertinent d’acheter des abonnés ! j’exagère un peu mais il faudrait étudier la complexité à ressortir les centres d’intérêts sur Twitter, car un fil est ouvert et tout le monde y accède, sauf qu’il est possible que l’algorithme s’approprie un abonnement alors qu’il est volontaire et direct.

En Conclusion

Twitter a encore de beaux jours devant lui et c’est tant mieux pour nous ! Partager ses contenus doit pouvoir se faire à un endroit ou un autre gratuitement si on veut que des flux d’infos soient générés et accessibles à tous. Nombres d’acteurs font payer leur contenu, d’autre la visibilité, mais au final c’est l’accès à l’information qui nous importe et inversement le partage de notre information. Avec Twitter, on a un réseau social qui depuis le début nous assure partage et visibilité, et même si un modèle économique existe, il ne pénalise pas pour l’instant les internautes qui diffusent du contenu. Twitter reste donc notre meilleur allié social media.

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La fin du « J’aime » obligatoire pour participer à un jeu-concours Facebook

A la fin de la semaine dernière, une série d’annonces importantes a été publiée sur le blog Facebook Developpers, à destination des développeurs d’applications Facebook. Parmi celles-ci figure une annonce qui fait beaucoup réagir et qui impactera dès le 5 novembre la majorité des jeux concours Facebook (pour ne pas dire la totalité…). Lire la suite