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Facebook ! Un bon coin pour vendre ?

Vous l’avez sans doute lu quelque part ces derniers mois ! Facebook voudrait devenir le bon coin

J’avoue avoir cherché comment un vendeur s’y prendrait, mais pas facile. Si vous avez un groupe Facebook avec quelques centaines de membres, vous avez peut-être déjà reçue la notification pour accepter les annonces de vente au sein de votre communauté. Quoiqu’il en soit je trouve ça plutôt dérangeant pour un groupe qui ne s’y prêterait pas dès le départ ! Dans la mesure où une communauté se serait bâtie après plusieurs mois de « dures » labeurs, elle se verrait polluée par des annonces de vente en perdant toute souplesse d’échange ?

Non bien entendu ! il vous reste le choix d’accepter ou de refuser la possibilité de vendre sur votre groupe.

Si vous avez refusé cette notification, rendez-vous dans les paramètres de votre groupe pour y trouver la fonctionnalité suivante et la réactiver :

A vendre Facebook

Si vous cochez « Fonctionnalités à vendre » vous aurez un sous-menu qui s’ouvrira pour vous permettre de choisir votre devise; euro, dollar etc… Voyons ensuite les changements dans notre boite de dialogue en retournant à la timeline.

Voici votre boite de dialogue avant modification :

boite de dialogue 1

Voici votre boite de dialogue après modification :

boite de dialogue 2

La couleur est clairement annoncée, la première option visible c’est « vendre quelque chose »… ensuite lancer une discussion. On imagine que la création d’un groupe pour y faire de la vente, devra y être totalement dédié.

Vendre son objet !

Si vous cliquez dans la boite de dialogue où « vendre quelque chose » est sélectionné, voilà les options qui seront disponibles :

box vente Facebook

Les options sont minimalistes mais c’est amplement suffisant pour créer une petite annonce rapide et lambda. Quelques belles photos seront toujours plus parlantes qu’une tirade ! Ceci étant ça place la fonctionnalité à la portée du plus grand nombre.

Les étapes pour mettre en vente votre objet :

  1. Votre objet (ou service) à vendre
  2. Le prix à fixer
  3. Les détails de la livraison. C’est facultatif mais tout de même recommandé je présume.
  4. Description de l’objet. C’est aussi facultatif, mais quelques mots seront tout de même appréciés par votre futur acheteur à n’en pas douter.
  5. Les photos de votre objet

Et c’est fini ! il ne reste plus qu’à valider et attendre les passants (les internautes de passage). C’est simple, rapide… mais est-ce efficace ? Ça restera à prouver avec le temps, mais vu qu’avec Facebook ça change tous les 4 matins, je ne doute pas sur les éventuelles évolutions qui risquent de voir le jour.

En conclusion

Convaincu ? Difficile à dire car peu ou pas de recul, mais il y a au moins 3 points positifs :

  1. Un réseau de plus d’1,3 milliards de membres ! ça pèse lourd dans la balance
  2. La simplicité de la création des annonces
  3. La possibilité pour des sociétés de proposer des articles (si il n’y a pas de contrainte)

Les points négatifs :

  1. Un peu limite pour la création d’annonce pro
  2. Impossible de mixer la vente et l’échange au risque de nourrir la timeline de spams d’annonces en tout genre
  3. La timeline n’est pas réellement adaptée à la visibilité des annonces

Après chacun est libre de passer outre la fonction vente… heureusement ! sinon comment Facebook s’y prendrait pour convertir des groupes en salles des ventes pour ses membres ? Je vois plutôt une solution qui demanderait à reprendre un travail de fond, et surtout ouvert à la recherche d’articles comme le bon coin ou eBay. Que gagnerait l’admin d’un groupe à voir son groupe envahi d’annonces du jour au lendemain… je vois là une belle occasion pour la prolifération des spams.

Laissons le temps de voir apparaître des évolutions. La plus grosse attendue serait à mon sens, une meilleure gestion de la TL aussi bien la vente que pour les échanges au demeurant. Une création de catégories serait le nec, façon Google Plus.

Et vous – Êtes-vous sensible à cette fonctionnalité ?

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Comment aborder le contenu à diffuser pour un blog ?

Lancer un blog ! c’est bien, mais c’est pas forcément aussi simple qu’on ne le pense

Une fois le blog en ligne, comment aborder le contenu à diffuser ?

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Voilà la question qui revient régulièrement après s’être lancé dans le blogging : Comment trouver le contenu idéal ?  Cependant il devrait normalement y avoir un plan ou une stratégie existante pour nous guider sur vos différents objectifs à atteindre. Parmi ceux-ci la ligne éditoriale à adopter, le lectorat à atteindre et la teneur des contenus à diffuser, et bien entendu comment les diffuser via ses réseaux sociaux entre autre.

Nous allons tenter de répondre à ces quelques questions pour vous aiguiller, et surtout pour ne pas tomber en panne d’inspiration en cours de route. Le contenu, on ne cherche pas à le produire en masse, mais il faut tout de même adopter une cadence pour capter son lectorat chèrement gagné.

Le choix de la ligne éditoriale

Qu’un blog soit professionnel ou « personnel », il doit répondre au minimum à une demande mais surtout à une ligne éditoriale . A ce stade vous l’aurez défini en amont selon votre thématique à mettre en avant. Si j’opte pour la thématique du social media, vous devrez adopter un regard, un point de vue depuis lequel vous rédigerez vos contenus. C’est à ce stade que l’on jugera de votre expertise sur le domaine retenu. Vous devez laisser apparaitre une spécialisation, une expertise qui montre votre expérience et votre vision claire du sujet.

Pour reprendre ce qu’est une ligne éditoriale, en voici une définition succincte :

Pour simplifier au maximum, la ligne éditoriale devra répondre à un ensemble de questions pour atteindre une cible définie.

1. Pourquoi dois-je créer un blog ? – La question fondamentale à laquelle il faudra répondre en premier lieu en intégrant tous les éléments à votre disposition et notamment le temps et la ou les personnes prête(s) à rédiger.

2. A qui s’adressera t’il ? – Ici c’est votre cible, votre futur lectorat

3. Qu’aurais-je à ma disposition ? Temps, hommes (rédacteurs)…

4. Quelle sera la fréquence de diffusion ? Ici vous déterminerez à quelle fréquence vous allez publier vos contenus, une ou plusieurs fois par semaine. Dans tous les cas, visez au minimum un article par semaine pour voir si vous tenez la cadence. Vous pourrez ensuite établir un calendrier, surtout si vous êtes plusieurs rédacteurs.

5. Quels seront les thèmes abordés ? Les thèmes à aborder devront contenir un dénominateur commun à votre activité pour ne pas dévier de votre cible. Vous pourrez définir plusieurs thèmes dans votre menu, mais ils devront respecter votre coeur de métier pour construire votre lectorat et le conserver.

Vous pouvez adopter ici le fameux Q.Q.O.Q.C.C.P. Outre le style de rédaction qui apportera une empreinte reconnaissable, la ligne éditoriale devra bien entendu correspondre à votre entreprise en terme de spécialisation. Êtes-vous dans la communication, le commerce, la logistique… vendez-vous des biens, des services… ?

En clair la ligne éditoriale devra vous ressembler, vous correspondre et mettre en avant votre expertise. N’oubliez pas qu’il n’est recommandé de ne parler que de soi-même, il faut savoir faire ressortir ses atouts intelligemment sans dénigrer qui que ce soit, ou en se mettant en avant.

Comment aborder le contenu ?

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C’est souvent lorsqu’on arrive à ce niveau que beaucoup abandonnent, et ce, après seulement quelques articles rédigés. Pourquoi ? Parce qu’aucun objectif n’a été défini en amont, et aussi parce que beaucoup se disent « il faut faire un blog parce que les autres en ont un » Ok ! mais un blog signifie qu’un contenu doit y être diffusé, et si ce point n’est pas respecté, arrêtez-vous tout de suite… avant même de créer quoique ce soit. Il ne s’agirait pas d’investir dans un support et le mettre à l’abandon dans les semaines ou mois qui suivent.

Si vous êtes prêt ! voyons alors quel genre de contenu produire pour tenir la cadence, et diffuser à peu près 2 articles par semaine, soit une centaine de posts par an. Plus vous viserez haut, plus vous devrez être vigilant sur la préparation de vos contenus et sur ce qu’ils renfermeront. Apprenez à alterner des types de contenu et voyez comment user de l’actualité pour rebondir dessus.

Pour démarrer :

1. Préparez 5 à 10 articles avant la mise en ligne définitive de votre blog.

Ne mettez pas en ligne un blog vide de contenu !

En préparant du contenu à l’avance pour le diffuser lors de la mise en ligne, vous allez premièrement offrir un choix de lecture en évitant l’impression d’un blog vide. Vous montrerez de prim’ abord que vous n’êtes pas forcément un débutant. Si vous couplez votre blog à des réseaux sociaux vous aurez ainsi la possibilité de créer un petit calendrier de diffusion via Twitter par exemple. Lors de la publication, vous pourrez espacer de 2/3 jours les dates de vos premiers posts pour annoncer une fréquence de rédaction.

2. Varier vos contenus

La variété des contenus aura pour effet de capter un lectorat plus large selon ce que vous aborderez. Mais pas seulement ! Il faut penser aussi à la mobilité qui grignote du terrain. C’est donc ici qu’il deviendra intéressant d’introduire des micros-contenus (snacking contenu), lorsque vous aurez à diffuser de l’actualité ponctuelle ou frapper une information sur laquelle rebondir.

– Contenu texte (articles)

Ce seront vos premiers contenus et ceux qui attireront principalement le plus gros de votre lectorat. C’est ici qu’il faudra définir une fréquence de publication à raison de 2 posts minimum par semaine (voir un si vous traitez d’articles de fond). Tenez ici la cadence.

– Contenu dossier

Le contenu sous forme de dossier est en général complet et plus profond. Il est en principe étayé par des exemples, des points stratégiques et apporte une vision d’ensemble sur un sujet. Il peut être traité en plusieurs parties pour éviter une lecture trop longue. Un billet comprenant 2000 mots par exemple, est déjà considéré comme relativement long… mais il peut à contrario se lire facilement si le sujet est captivant. Il est possible de créer un slide-share également, et inclure le lien dans un billet qui résumerait l’ensemble. Apporter un contenu par mois de ce type est très enrichissant, et cela pourra apporter une nouvelle audience à la recherche de sujets développés en profondeur.

– Contenu multimédia  

Un contenu multimédia comme les photos, ou mieux les vidéos assureront de la pérennité à votre blog. Une vidéo est régulièrement consultée et peut être couplée à une chaine YouTube, ce qui viralisera vos contenus en vous permettant d’élargir votre audience. Ne négligez pas ce point si vous avez la capacité à produite des vidéos. Les vidéos peuvent par exemple être des tutos, et elles resteront ainsi consultables à tout moment.

Les photos quant à elles sont toujours les bienvenues pour habiller vos posts ou traitées à part au sin d’un portfolio, elles apporteront un plus en offrant un peu de vie à votre blog. Elles peuvent être très personnelles ou bien encore rejoindre votre ligne éditoriale en prenant soin de trouver des illustrations comme des infographies, voir des dessins humoristiques qui apporteront une touche de fun. N’hésitez pas là aussi à en user, voir à mixer les différentes sources de contenus au sein de vos posts.

En conclusion

Vous l’aurez aisément compris, créer un blog c’est déjà un travail ! mais le plus dur reste à faire si on veut assurer sa pérennité et le développer avec un contenu publié régulièrement. Pour y parvenir il est primordial de varier ses contenus pour élargir son audience tout en restant dans sa ligne éditoriale. Mixer le fun et le professionnel est tout à fait envisageable si on en connait les frontières… et je ne parle pas ici de sites de buzz qui sont d’un tout autre genre.

Apprenez à vous connaitre et à rechercher sans cesse de l’inspiration au travers de vos veilles, de votre curiosité et en échangeant beaucoup avec vos connaissances, communautés etc… vous aurez ainsi rapidement des choses intéressantes à raconter avec une vision de votre expertise qui s’accroitra de jour en jour. Si vous tentez l’aventure collaborative, maitrisez-en les contours et soyez à l’écoute en définissant des règles. C’est un autre sujet mais tout autant passionnant.

A vos blogs ! et racontez-nous vos expériences de blogging, votre démarrage, comment votre blog a vécu dans le temps etc…

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Le community manager doit-il évoluer ?

Le community manager ! ça fait déjà un moment qu’on dit que c’est un métier nouveau, un métier indispensable pour les marques qui communiquent sur le net (cad quasiment toutes) un métier qui va évoluer, un métier qui va se tourner vers l’avenir avec la montée du digital… etc… etc… Bilan ? Est-ce que le community management doit évoluer pour sortir un peu du cadre actuel et se refaire une santé, et attirer vraiment les sociétés en manque d’information sur ce rôle majeur pour les acteurs du net ?

Il est temps que le community management prenne un véritable envol !

Je pense qu’il serait temps que les choses évoluent si on veut voir plus de CDI habiller les jobboards de la toile ! Pour l’instant c’est maigre et on n’ose presque plus prendre connaissance d’une annonce, qui parfois tente même de dissimuler au postulant qu’il s’agit d’un stage. Fini de raconter aussi que le stagiaire pourra se voir confier un vrai poste en fin de mission… Les stagiaires semblent bien plus faire le bonheur des startups, qui n’ont que quelques euros à verser au bon samaritain du net ! Pour le reste passez votre tour, ou sinon armez-vous de patience, et soyez prêt avec un solide bagage ! Comment ça vous n’avez pas de bagage ! vous démarrez le métier et vous ne justifiez pas de 5 ans d’expériences minimum ? mais pourquoi donc persévérez alors ?

Peut-on rire de cela ? j’en doute fort si on se plait à être sérieux 5 minutes. Pourquoi avoir fait tant de tapage autour d’un métier qui peine à être reconnu dans notre pays, qui semble même être excommunié par la reconnaissance.

Alors oui ! le community management doit évolué si il ne veut pas perdre des plumes en route, et à ce titre il devrait profiter du décollage en trombe de la mobilité, et se laisser porter vers de nouveaux cursus florissants à la porte des grandes écoles. Est-ce là le mieux que l’on puisse espérer ? A moins de se lancer comme un bon indépendant dans une profession qui en recense déjà un bon paquet ! C’est certes une belle aventure avec un cap à surmonter, et si l’évolution du métier s’apprend ainsi plus facilement an mode entrepreneur, il ne faut pas négliger cette voie.

Vers quelle direction faire évoluer le community management ?

Si on observe un peu les tendances, les nouvelles technologies et les marques qui réinventent la communication, on aura ici un panel suffisamment large d’idées pour voir où peu aller le community management pour évoluer, ou au moins se spécialiser autour d’une discipline.  La mobilité est un de ces vecteurs porteur pour le community management, et j’ai eu l’occasion d’en parler à plusieurs reprises pour monter qu’il y a un véritable potentiel dans les contenus d’un nouveau genre, le marketing mobile et les actions autour de l’évènementiel. Rien n’empêche le community manager de se forger une e-réputation, de saisir sa plume et de montrer sa spécialité, ses idées, partager sa vision du métier et plus encore le vivre par passion en le transmettant à d’autres. On estime qu’un community manager sait au minimum rédiger ! et à ce titre je trouve dommage que beaucoup n’utilisent pas ce talent pour partager. Si il y a bien un moment où faire état de son métier, c’est au travers de l’écrit au sein d’un blog qu’il soit collaboratif ou personnel. C’est un terrain d’entrainement, une formation et en même temps un moyen d’expression apprécié des recruteurs.

Pour reprendre il est donc essentiel que le community manager évolue… non pas en compétences pour en ajouter d’autres ! mais plutôt en cherchant la spécialisation, à la vue des nouvelles tendances qui pointent le bout de leur nez ! La mobilité, c’est un fait établi que ce sera un marché porteur et où il y aura des recrutements ! il faut être positif et y croire, sinon à quoi bon poursuivre. Maintenant que le community manager tend de plus en plus vers le marketing digital, il est aussi temps pour les premiers CM de rééquilibrer ses compétences. Pratiquer des outils dédiés aux métriques et apprendre un peu plus le ROI sur des actions digitales, aideront certainement à avoir un discours plus aiguisé. En clair même si le CDI n’est pas là, il faut continuer à se former, à apprendre et à réseauter pour faire circuler son CV.

La direction semble donc être la mobilité, le marketing mobile et donc les contenus adaptés aux smartphones. Il y a certainement d’autres pistes, mais voici les évolutions possibles.

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Changement de cap pour les jeux-concours Facebook !

Avec la fin du like-gating Facebook dés le 5 novembre, il va falloir redoubler de créativité du côté des solutions comme du côté des clients

Le like-gating également appelé fan-gate est un passage obligatoire au like pour parvenir au contenu d’un jeu-concours organisé par un tiers. Il garanti ainsi pour la marque le like tant convoité, qui transforme le likeur en « pseudo » fan de la page Facebook. L’intérêt de cette pratique est de permettre un apport massif de fans lors d’une opération qui durera en moyenne entre 2 et 4 semaines. La marque récupère d’ailleurs au passage toutes les adresses mails des contacts, afin de leur permettre de communiquer à nouveau par la suite sans passer par la case Facebook. Cet ensemble promotionnel est un coup gagnant pour les organisateurs de jeux-concours, les marques, tout comme les agences qui exploitent ces missions en tant qu’intermédiaires.

A ce titre Facebook se justifie en annonçant qu’il ne souhaite plus la promotion forcée, pour être fan d’une page ou d’un contenu. C’est donc à partir du 5 novembre de cette année qu’entrera en vigueur cette interdiction concernant le like-gating. Il est clair qu’en ce moment et déjà en amont, ont commencé à réfléchir les acteurs du jeu-concours et ceux qui y ont recours régulièrement. Ils existent des solutions, mais il faut aussi admettre que les retours qu’elles occasionneront seront de moindre portée. Se pose alors la question de savoir si il est nécessaire de trouver d’autres solutions ou de poursuivre en recherchant davantage le qualitatif plutôt que le quantitatif.

On peut d’ailleurs découvrir une réflexion sur le like-gating sur le blog du Journal du CM  : La fin du like-gating

Un rendez-vous est déjà fixé au 6 novembre

On pourra sans chercher à spéculer sur les solutions apportées, se donner rendez-vous chez les acteurs le 6 novembre pour voir comment chacun va réagir. ReflexeMedia a déjà sa solution et ce sera avec plaisir que nous vous accueillons pour la mettre en pratique lors de vos futures opérations promotionnelles.

Du côté des clients / utilisateurs de solutions de jeux-concours, il sera non moins intéressant de voir comment ils comptent procéder pour parvenir à fidéliser et engager différemment. Le jeu-concours restera toujours un axe de choix mais il se pourrait que pour une fois la qualité l’emporte et draine de nouvelles créations allant dans ce sens. Je suis particulièrement attentif à ce qui va se faire dans les mois à venir, et ne manquerai pas de partager une offre intéressante pour vous la détailler.

Petite conclusion

On ne peut pas dire que cela sera un choc, tant les acteurs, les marques… ne restent pas en manque d’inspiration. Certains avaient peut-être anticipé cette interdiction, tout en travaillant sur la créativité d’offres pour pallier au fin du like-gating. Il est toujours plaisant de voir qu’un renouveau arrive et qu’il puisse apporter de réelles nouveautés et de campagnes riches qui mériteront un suivi. En attendant je vous propose de débattre sur le sujet en commentaire.

Pour ou contre la fin du like gating ? Qu’est-ce que ça peut apporter selon vous côté utilisateur ?

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Twitter reste notre meilleur allié social media !

Chaque business se doit d’avoir un modèle économique pour assurer sa pérennité ! et c’est la même chose pour nos chers réseaux sociaux

Fort heureusement pour nous, il y a des sociétés qui pendant quelques années nous offrent la gratuité de leurs services. Ensuite il est tout à fait légitime et logique pour elles de basculer sur un modèle payant, afin de continuer à exister sur la toile. Ce sont nos vilaines habitudes à la gratuité qui sont bousculées, lorsqu’elles changent et deviennent payantes ça irrite un peu le portefeuille !

Ce qu’il en est de Facebook

La problématique avec les réseaux sociaux, c’est que la gratuité nous a toujours permis jusqu’ici de partager et de nous assurer un minimum de visibilité. Et à présent il semble que ce temps soit révolu, il est de mise depuis quelques temps maintenant de mettre la main au porte-monnaie pour tout juste être vu ! un comble si on considère qu’au sein d’un réseau social, on a un cercle d’amis envers qui on aimerait bien demeurer visible sans avoir à tripoter un tas de réglages. Bon d’accord ! tous ne sont pas de vrais amis au sens propre du terme, mais tout de même ! Certains ont construit leur propre réseaux de connaissances, de socio-profils qui leur ressemble, et j’en passe !

Au bout du compte on s’attend tout de même à mettre un pied dans leur champ de vision… sauf que ! il en est tout autrement avec les nombreux changements qu’opère le réseau des réseaux. On affine les centres d’intérêts de chacun, on masque par défaut des éléments… et au final on appâte l’internaute avec un vaste territoire, où se côtoient plus d’un milliard de personnes avec des données qui les différencient en de nombreux points. Toutes ces années ont pu permettre de recenser les besoins, les désirs, les affinités, les gouts etc… etc… de chacun des membres de Facebook ! Maintenant que c’est stocké, il va falloir raqué pour aller voir être montré à ton voisin et la communauté des gens qui t’intéressent. Super ! Mais après tout, il faut bien gagner sa vie et monnayer son business pour être rentable et poursuivre l’accès à un vaste univers de services qu’offre Facebook à ce jour.

Au final ! rien à dire. C’est tout à fait normal, sauf que ça ne nous arrange pas quand on compte sur ce réseau pour vivre également.

Quel serait l’alternative pour s’offrir un peu de visibilité ?

Au niveau des réseaux sociaux, il y en a encore qui assurent une bonne visibilité pour les internautes de tout horizon ! si nous devions en retenir un parmi les nombreux existants, je dirais que ce serait Twitter. Le réseau social à l’oiseau bleu est encore celui qui ne ferme pas les portes au partage et à la visibilité, bien que cela puisse changer mais j’en doute vu qu’il n’est pas encore pleinement rentable en l’état. On pourrait parler de Google Plus mais j’ai peur qu’il soit plus restreint qu’on ne veuille bien le dire. Vous êtes automatiquement titulaire d’un compte Google Plus dès lors que vous possédez une adresse GMail… ce n’est donc pas très représentatif au final. Je dirais que les communautés sont par contre assez intéressantes, mais elles ne sont pas non plus destinées à partager de la même manière qu’une page.

Je reste donc sur Twitter, comme étant notre meilleur allié social media.

Twitter ! idéal pour partager et gagner en visibilité…  gratuitement !

Twitter demeure ce réseau social où il est encore possible de se constituer une base de contacts, sans avoir une limite fixée à 5000 où je ne sais combien d’abonnés. Chacun est libre de suivre qui il veut et réciproquement. Certes Twitter possède son modèle économique, mais il est encore loin d’être rodé tant son algorithme peine à distinguer les centres d’intérêts des profils. Faites l’essai d’allouer un petit budget pour récupérer des abonnés… vous serez surpris de constater qu’il est parfois plus pertinent d’acheter des abonnés ! j’exagère un peu mais il faudrait étudier la complexité à ressortir les centres d’intérêts sur Twitter, car un fil est ouvert et tout le monde y accède, sauf qu’il est possible que l’algorithme s’approprie un abonnement alors qu’il est volontaire et direct.

En Conclusion

Twitter a encore de beaux jours devant lui et c’est tant mieux pour nous ! Partager ses contenus doit pouvoir se faire à un endroit ou un autre gratuitement si on veut que des flux d’infos soient générés et accessibles à tous. Nombres d’acteurs font payer leur contenu, d’autre la visibilité, mais au final c’est l’accès à l’information qui nous importe et inversement le partage de notre information. Avec Twitter, on a un réseau social qui depuis le début nous assure partage et visibilité, et même si un modèle économique existe, il ne pénalise pas pour l’instant les internautes qui diffusent du contenu. Twitter reste donc notre meilleur allié social media.