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Infobésité : A qui profite le surcroit d’information ?

L’infobésité ou surabondance de contenu circulant sur les autoroutes du net, continue de remplir les fibres des data-centers

En plus d’être énergivore, les data-centers fonctionnent non-stop pour engranger, diffuser, partager et soi-disant protéger vos données. Je me souviens des disques durs où pour chaque modèle on avait droit à un bouton on/off !

Aujourd’hui ils sont tous reliés au secteur 24h/24 et indirectement reliés à internet via votre ordinateur… qui lui-même reste connecté en permanence. Tous ces giga-octets renferment de précieuses données, où circulent votre vie privée et votre vie professionnelle. Elles sont ainsi à la portée de n’importe qu’elle pirate mal intentionné et de votre FAI, qui ne peut en refuser l’accès aux autorités si besoin est ! Tout ceci est vertigineux, et ça fait peur de savoir que notre vie, pour ceux qui la stocke sur leur ordinateur, est exposée ainsi au monde.

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Existe t-il une réelle sécurité pour cela ? On vous dira que oui, et d’autres vous diront que c’est invraisemblable quand on voit que Google ne laisse même plus un utilisateur télécharger une application, sans lui demander ouvertement un accès à son smartphone ou ordinateur, et bien entendu chacun des faits et gestes qui vont avec; déplacements, téléchargements, données sensibles etc… Tout le monde le savait dans sa barbe, et à présent on peut en parler et le montrer sans en rougir.

Mais à quoi servent toutes ces données récupérées ?

L’infobésité !

Il y a des années de ça, on vous payait pour écrire, pour livrer un contenu ou une étude. Bien entendu c’est toujours le cas, mais avec internet et les réseaux sociaux, c’est devenu un système inversé ! Vous produisez gratuitement du contenu et le web l’analyse, le décortique, le stocke et s’en sert en retour pour vous cataloguez et vous vendre tout un tas de services. A cela s’ajoute le big data, qui servira à analyser en temps réel ces quantités d’informations pour affiner les offres et les services des entreprises. Un monde de consommation outrancier !

De nombreuses sociétés assurent la collecte des données pour s’assurer des bases de connaissances dans tous les domaines confondus. Certaines de ces sociétés gèrent et stockent ces données dans le but de les traiter pour des besoins précis en matière d’offre de service et de commercialisation de produits. Le monde du e-commerce affine déjà ses offres en fonction des visites, des simples consultations de fiches articles etc… rien ne semble vouloir échapper aux acteurs du net.

Derrière l’infobésité

Si on creuse plus profondément dans l’infobésité pour savoir à qui elle profite, elle ne saurait se cacher face vis à vis des services de renseignements, des grands groupes et de ceux pour qui l’argent est une finalité. Pouvoir tout connaitre sur tout le monde, est un moyen de contrôle absolu sur la population dans chacun de ses faits et gestes. N’y a t-il que le commerce pour en tirer profit ?

A vous de réfléchir à tout cela et d’en tirer vos conclusions. L’explosion démographique, le dérèglement climatique, les manipulations génétiques et tout un tas de paramètres sont là sous nos yeux. Que cache ce qui semble être anondin ?

On pourrait se contenter de l’infobésité en tant  que tel ! mais n’y a t-il pas autre chose derrière tout ceci ?

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L’empreinte digitale : Le CV du communicant online

Quel est le meilleur CV pour un communicant online ?

J’entends régulièrement sur les groupes à destination des profils comme les community managers : « comment rédiger un bon CV ? » mais rarement « comment soigner son empreinte digitale ? » Quand il s’agit de trouver un poste ou une mission, le meilleur CV que pourrait fournir un tel profil à son futur employeur; c’est bien son empreinte digitale et ce qu’il entreprend. Comment s’implique t-il dans le milieu, à quelles discussions participent-ils ? voir encore mieux; est-ce qu’il tient un blog personnel ou rédige t-il pour un blog collaboratif ?

Toutes ces questions sont en droit d’être posées par un recruteur, mais si il recherche un profil particulier, il aura tout intérêt à regarder du côté de Google pour recruter et attirer les bons profils. Il ne s’agit pas ici de dresser un billet en donnant des techniques… mais plutôt de vous faire prendre conscience que votre activité sur internet peut être également un bon CV.

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Il est temps de soigner son empreinte digitale

 Où êtes-vous présent et y êtes-vous actif ? Que racontez-vous et qu’écrivez-vous sur les supports où vous possédez un profil ? Il s’agit d’être professionnel et de savoir dissocier ses loisirs et ses activités personnelles.

Il est temps pour vous de faire le bilan de votre empreinte digitale

Attention aux écarts de langages et aux prises de positions trop prononcées. Il y a des choses qu’on ne peut afficher, même si tout reste louable. Il s’agit plutôt d’être passe-partout et relativement neutre, et de privilégier ses prises de position lors de discussions ouvertes et provoquées. En situation de recherche d’emploi, les français sont plutôt très cadrés dans leurs approches et hélas également dans leurs préjugés.

Pour comprendre comment mettre en avant et soigner son empreinte digitale, il s’agit de faire premièrement une nette distinction entre ce qui est personnel de ce qui est professionnel. Commencer par faire un inventaire des réseaux sociaux sur lesquels vous vous êtes inscrits, voir les plus anodins qui laissent souvent des traces indésirables sur internet.

Il faudra savoir gérer tout ça et faire ressortir un principe qui caractérise de nombreux profils communicants au travers d’internet; la passion ! Un passionné aime apprendre, échanger et s’investir dans des projets ou auprès de communautés. Il s’engage et se forme par la même occasion aux pratiques. Tout cela devrait donc transpirer quand on vous traque sur le net ! En parallèle, il s’agit aussi de mettre en avant son expertise et ce pour quoi on se positionne au travers de nos partages sociaux.

Pensez aussi à l’employeur qui n’a pas forcément une maturité digitale, et à celui qui démarrera probablement par une visite sur un réseau professionnel comme Linkedin. Pour la suite il pourra s’en référer à un éventuel community manager déjà en poste, ou auprès de connaissances qui l’aiguilleront pour le recrutement d’un profil. C’est donc inévitable qu’à un moment ou un autre, il cherchera à en apprendre un peu plus de vous via internet.

Apprendre à soigner son profil professionnel Linkedin

La premier réseau social à travailler pour son empreinte digitale sera Linkedin

Vous aurez au passage plus de chance en privilégiant Linkedin comme réseau professionnel que Viadeo. Linkedin étant davantage ancré dans l’esprit des recruteurs et des profils plutôt que Viadeo, qui est en nette perte de vitesse.

Il s’agira donc ici de soigner sa présentation et son parcours; ses expériences, ses activités onlines etc… Je ne vais pas vous dresser point par point la manière dont on créer un profil, mais plutôt vous donner quelques points à insérer sur votre profil. Pour le reste Google sera votre ami !

Sur Linkedin vous avez la possibilité de notifier une expérience, à laquelle rattacher des urls. Par exemple si vous êtes rédacteur pour un blog à thématique marketing, communication ou tout autre sujet qui vous rapprocherait de votre poste visé, n’hésitez pas à le notifier. Ensuite, tous les articles que vous aurez rédigé pourront être associés à votre expérience. Ne les mettez pas tous si vous en avez des dizaines, mais privilégiez les meilleurs ou les plus pointus. Si au contraire vous en avez très peu, mettez-les en vous assurant de leurs pertinences.

En second point vous pouvez également créer des projets en y invitant chaque participant, s’ils ont eux-mêmes un profil Linkedin et s’ils sont dans vos contacts. Enfin n’hésitez pas à glisser sur Linkedin une action humanitaire à laquelle vous auriez participé, ça fait toujours bien !

Recherchez tout ce qu’il est possible de faire pour peaufiner voter profil et monter votre implication dans le digital. Mettez-vous dans la peau de votre recruteur et demandez-vous si vous vous embaucheriez ! vous aurez certainement des idées qui vont surgir.

Facebook et Twitter

– Facebook

Si votre employeur se trouve dans vos amis, faites très attention à ne pas dire n’importe quoi ! ça peut faire rire mais on a vu des cas pas très glorieux ! Facebook doit être parfaitement sécurisé, et si vous le pouvez, dissociez-le d’un profil professionnel. Je sais que certains ont tendance à s’éparpiller sur Facebook, alors faites ressortir un équilibre avec vos partages professionnels et les discussions auxquelles vous participez au sein des groupes.

Si vous recherchez une mission plus qu’un poste, c’est ici qu’il faudra être actif et repérer les petites annonces de recherche de profils. Il existe par ailleurs des groupes dédiés aux offres d’emplois, dans de nombreux secteurs du digital.

Par exemple pour les offres d’emplois des CM, Webmarketeurs… vous avez celui-ci : Groupe dédié

 

– Twitter

Twitter est le profil transparent par excellence si vous ne l’avez pas bloqué à vos seuls abonnés. Si vous aimez passer des heures à discutailler avec tout le monde, faites-le aux heures raisonnables et préférez là encore un profil discret et plutôt dédié à ça. Gardez votre profil original (nom / prénom) pour vos échanges pros et la diffusion de vos actualités. Twitter est un terrain de plus en plus utilisé par les recruteurs dans le digital… alors faites-en bon usage et rester en veille sur vos mots-clés.

En conclusion

Plus une prise de conscience qu’un article il était de bonne augure de souligner ce point, car il n’est pas régulièrement soulevé par les jeunes profils qui se lancent. Si vous recherchez un poste, prenez de votre temps libre pour entamer des actions bénéfiques. Soignez vos profils sur les réseaux sociaux et mettez-vous déjà dans la peau d’un professionnel en poste.

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Pensez sérieusement au community management !

Il est temps de se mettre au community management pour avancer dans le digital !

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Progresser sur le plan digital demande du temps et de l’investissement en humain. Rédiger du contenu, le diffuser, et suivre les courbes de progression de sa visibilité, sont à eux seuls des points indispensables pour soigner son image de marque et démarrer dane la sphère d’internet. On ne le répétera sans doute jamais assez, mais pensez sérieusement au pôle community management pour votre entreprise, même s’il vous semble que vous maitrisez internet, vous n’aurez pas le temps de tout superviser et de gérer seul votre société sans faire de très gros sacrifices.

Pourquoi le community management est important et doit être mieux compris ?

Avoir un community manager à ses côtés et miser sur son rôle aura pour conséquence de prendre au sérieux l’empreinte digitale de votre entreprise, mais pas que ! Toute entreprise désireuse de se lancer sur internet afin de diffuser son offre de produits et/ou services, nécessitera plusieurs axes à déployer pour parfaire son entrée sur la toile.

En premier lieu il conviendra de définir ses objectifs et d’identifier ses besoins pour y parvenir. Viendra ensuite le développement d’une stratégie pour avoir une ligne de conduite et savoir quelle direction prendre parmi les choix qui s’offriront à vous. Il sera par exemple indispensable d’opter pour les réseaux sociaux qui vous apporteront de la visibilité en rapport de votre expertise… Facebook sera t’il adapté, Twitter répondra t’il à vos exigences ? etc… Toute cette partie sera à travailler conjointement avec votre community manager si vous n’avez pas une grosse structure avec des services communication et/ou marketing. C’est ici que le rôle d’un community manager prendra toute son ampleur.

Il est donc important d’avoir cet atout au sein de votre société, afin de vous guider sur votre stratégie digitale et ensuite de la déployer sur les différents supports retenus. Le community manager pourra ensuite créer du contenu et le diffuser pour démarrer votre présence et vous assurez de la visibilité au fil du temps. Il pourra ainsi suivre l’évolution du travail mis en place et pourra vous conseiller sur des ajustements, et éventuellement sur des actions à mettre en place comme des jeux-concours via Facebook qui vous permettront de gagner vos premiers fans. N’hésitez pas à consulter notre offre à ce sujet : ReflexeMedia.

Comment mesurer un retour sur investissement ?

Le ROI est toujours un sujet épineux à aborder dans le digital, parce que d’une part vous avez des responsables qui cherche à obtenir un résultat rapide, et de l’autre côté des chef de projets ou autres personnes qui ne parviennent pas à mesurer réellement le ROI dans le digital. Pour mesurer un ROI, il est donc impératif de définir des objectifs en amont, et on ne parle pas ici d’objectifs commerciaux ou d’un certain chiffre à réaliser. Il est important de ne pas lier votre community manager à la performance pour éviter une course effrénée au chiffre, qui manquerait de qualifier son travail en privilégiant un résultat coute que coute.

Un ROI ça vaut aussi pour des objectifs de présence, de gain d’abonnés, de fans… sur les réseaux sociaux que vous aurez retenu pour mettre en avant votre expertise.

Exemple :

Le community manager aura pour objectif de rédiger 8 contenus par mois, soit 2 par semaine. A cela s’ajoute leur diffusion via les différents réseaux sociaux avec un objectif de gain d’abonnés que l’on pourrait fixer entre 100 et 200 par mois sur Twitter et peut-être 100 sur Facebook hors actions de jeux-concours jusque-là.

Déterminer une phase d’interaction pour ouvrir le dialogue et rechercher les intérêts de vos fans en les amenant à participer à la vie de votre communauté (Fan page Facebook, Twitter…) En partageant vos posts sur Twitter et sur Facebook, vous pourrez suivre également l’évolution des visites sur votre site et voir comment elles évoluent d’un mois sur l’autre. Voyez si des interactions se font sur d’éventuels Call-To-Action que vous auriez mis en place pour télécharger des livres blancs par exemple ou pour s’abonner à une newsletter. Toutes ces actions et leurs suivis sont tout à fait dans la lignée d’un ROI dans le digital. Si vous atteignez vos objectifs tels que ceux définis en amont, alors votre community manager est rentable et il participera bien à l’évolution de votre entreprise afin de la faire connaitre, et de lui assurer une visibilité sur le terrain du net.

En conclusion

Ne négliger pas le rôle d’un community manager quand vous décidez de faire d’internet un nouveau terrain pour développer votre business, ou tout simplement pour travailler votre présence, la redresser, l’améliorer, la maximiser… il y a beaucoup d’axes possibles à travailler en community management. Il faut bien intégrer que c’est un poste qui consomme du temps et donc de l’énergie, et seul on ne peut parvenir à des résultats qualitatifs sans un appui sur lequel compter pour son développement.

Pensez-y sérieusement ! le community management est la solution à un véritable travail de fond sur internet pour vous développer

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Le digital est partout !

La percée du digital… jusqu’où ?

C’est un fait ! et de plus en plus de supports magnétiques disparaissent peu à peu des rayons. S’ils sont toujours là ! Remarquez néanmoins une chose pour les disques durs par exemple, ils ne sont plus pourvus d’interrupteurs pour une majorité d’entres eux. L’intérêt est de rester connecter au réseau, pour un accès constant aux données stockées. C’est pas pour ce que ça coûte à produire, même si on cherche à gratter à tous les étages. Là il y a une volonté ouverte à rester connecté avec ses données accessibles.

On cherche à tout dématérialiser pour mieux contrôler, pour mieux surveiller… mais sous-couvert d’ainsi mieux connaître le consommateur pour lui vendre le produit ou le service dont il à besoin en temps réel… le graal suprême en matière de business.

Réussir à vendre ainsi, on y parviendra un jour ou l’autre avec les dernières technologies qui arrivent sur le marché. On pense déjà aux beacons et i-beacons d’Apple, mais ce n’est qu’un début car il y a fort à parier que les choses évolueront très rapidement. En même temps demeure un certain paradoxe à ceci : la crise. Comment relancer la consommation quand de telles avancées arriveront à poindre le bout de leur nez ? Il ne s’agirait pas de ne plus pouvoir consommer… ce qui en partie est pas loin d’arriver.

Il y a tout de même une tendance qui se dégage; avec de tels changements, beaucoup ne suivront plus et il y aura sans doute un écrémage des acteurs du digital, ce qui pourrait limiter les distributeurs à un petit noyau détenteur d’un vaste empire. On commence à avoir une meilleure vision sur les mastodontes du milieu internet; Google, Apple, Facebook et consort rachètent à tour de bras des entreprises novatrices dans leur secteur, et la cible d’un google et d’un Apple est clairement tout ce qui se relie à leur application Plan / Maps. Tout ce qui permet une géolocalisation avec un service à la clé, est susceptible d’intéresser un de ces 2 acteurs. On vise donc un marché qui rapproche au maximum le consommateur avec la marque, ce qui a toujours été le but à atteindre ces dernières années.

La Mobilité 

1. À présent que l’on glisse dans la mobilité, il serait bon d’en définir les contours et de savoir ce qui va réellement nous parvenir dans les mois et années à venir. Si on scrute l’actualité on peut constater plusieurs choses au niveau des objets connectés par exemple, parce qu’au final ça va ensemble. La première chose sont les bracelets connectés afin de mesurer votre fréquence cardiaque et de relever vos performances lors d’un footing, d’une balade à vélo… ils sont intéressants à bien des égards et en ce qui concerne le milieu du digital et des communautés, ça va créer de nouveaux genres de réseaux sociaux à n’en pas douter. On sera sur des niches mais au sein d’univers qui seront dédiés largement à un domaine unique. Dans notre exemple; le sport, et avec ça tout un ensemble d’univers dédiés qui vont se dessiner au fil des mois en misant sur le social; partage sur les réseaux, diffusions vidéos…  C’est ici la partie fun, le social media et les community managers qui vont découvrir de nouveaux challenges, de nouvelles opportunités etc…

2. Dans un second temps et c’est ici que les révolutions vont démarrer, c’est le commerce… pas spécialement le e-commerce quoiqu’il va avec. Avec les beacons et les i-beacons (Apple) on pourra grâce à ce gadget vous notifier d’éventuelles promos, de messages etc… à l’approche d’un point de vente, ou d’un lieu quelconque qui en serait équipé. Ces petits émetteurs fonctionnent en bluetooth avec une très faible consommation d’énergie, en émettant un signal qui lorsque vous vous rapprochez de lui vous notifie au travers d’une appli. Si vous adhérez à l’appli en acceptant les notifications bien entendu. Dés lors cela laisse entrevoir les nombreuses possibilités offertes pour faire du business, et on ne tardera pas à voir tous les centres commerciaux équipés de ces émetteurs dans les prochains mois et/ou prochaines années.

Retour au point de départ

Ce qui est assez drôle au travers de ces 2 derniers exemples, c’est qu’ils nous montrent clairement un retour à l’extérieur… du social media chez soit on passe au social media « sportif  » (pour notre exemple) en extérieur, et du e-commerce on revient vers le commerce en magasin. On voulait cloisonner le client sur le net, mais voilà qu’on lui redonne un peu de liberté…  pour mieux y revenir sans aucun doute !

Est-ce que le digital va encore bouleverser les modes de communication… quel est votre avis sur le sujet ?