Outils-CM-ReflexeMedia

5 plugins « Social Media » indispensables pour votre blog

WordPress reste aujourd’hui le CMS le plus utilisé dans le monde. Et en matière de social media, il existe une pléthore de plugins plus ou moins intéressants… nous vous en mentionnerons 5 dans cet article.

L’utilisation de plugins au sein d’un blog, est à considérer d’un point de vue sécurité tout autant qu’au niveau de la performance. En effet, il est d’usage de vérifier certains points pour minimiser les problèmes de failles au niveau de votre blog. La première chose étant la compatibilité du plugin avec votre version de wordpress, et la fréquence de mises à jour pour répondre aux remontées de bugs par les utilisateurs. Regardez également le niveau de notation et combien de fois il a été téléchargé, ça signifiera qu’il existe une communauté d’utilisateurs actifs du plugin. Bien entendu ces points ne sont pas un gage de confiance absolu, mais ils permettent néanmoins de se prémunir.

La seconde chose est d’ordre logique, il ne faut pas surcharger votre CMS de plugins au risque de ralentir le chargement de vos pages et de perdre en référencement. Vérifier que les plugins que vous avez sont indispensables à la vie de votre blog, et n’hésitez pas à les supprimer s’ils ne vous apportent pas de grands changements. Faites votre sélection, et vérifier le bon fonctionnement de chacune de vos extensions.

Démarrons par notre sélection de 5 plugins utiles et/ou indispensables pour votre blog social media :

1. SEO by Yoast

C’est LE plugin incontournable en matière de SEO pour référencer au mieux votre blog. A lui seul il couvre une multitude de possibilités et de réglages pour parvenir à optimiser votre référencement. A cela il faudra bien entendu penser à référencer votre blog auprès des moteurs de recherche les plus populaires, et récupérer votre code Google Analytics pour traquer vos visiteurs et avoir des données les concernant. Vous pourrez quasiment tout paramétrer depuis ce plugin. Pour apprendre à l’utiliser je vous recommande de chercher un tuto sur le net pour vous familiariser avec l’outil. Les Twitter Cards sont gérées et le plugins est très régulièrement mis à jour. C’est une référence incontournable.

Pour la page du plugin et en savoir plus via WordPress.org : SEO by Yoast

2. Contact Form 7

Un blog quel qu’il soit, doit posséder au minimum un formulaire de contact pour s’abonner à une newsletter par exemple, voir vous contactez pour un service, une information…  ce qui sera fort appréciable pour votre lectorat. En social media, il est tout de même de rigueur de proposer au minimum un formulaire pour prendre contact avec vous. Le plugin contact form 7 est l’un des plus utilisés et des plus complets à ce sujet, et cerise sur le gâteau, un tutoriel pour vous aider à utiliser le plugin au mieux, a été créé par Alex Bortolotti.

Pour la page du plugin et en savoir plus via WordPress.org : Contact Form 7

Voici le lien pour le tuto : Contact Form 7

3. Click to Tweet

J’ai découvert ce plugin grâce à une connaissance il y a quelques mois, et je dois reconnaitre qu’il est très efficace pour varier les angles de partage d’un article. Il s’agit ici de pré-rédiger des tweets à l’intérieur de vos articles (autant que vous le souhaitez) et de laissez vos visiteurs les diffuser.

C’est relativement intéressant pour les articles proposant une liste de conseils, de trucs et astuces, voir d’articles en plusieurs chapitres. À la fin de chacun de ceux-ci, préparer un tweet qui permettra à votre communauté Twitter de prendre connaissance d’un sujet traité en particulier au sein de votre post. L’avantage est que cela permet plusieurs partages du même article sous des angles différents.

Pour la page du plugin et en savoir plus via WordPress.org : Click to Tweet

4. Easy Social Share Buttons

Que serait un blog social media sans boutons de partage vers vos réseaux sociaux ? Pas grand chose !

C’est ici tout l’intérêt quand on recherche de la visibilité tout en se construisant un réseau d’abonnés et un lectorat fidèle. Des plugins il en existe des dizaines avec des fonctions plus ou moins similaires… mais si on en veut un qui soit complet et paramètrable, je vous conseillerai alors easy social share buttons. C’estune véritable usine mais il peut tout faire jusqu’à la personnalisation des boutons, la taille, le positionnement… il gère tout et nécessite un petit temps d’adaptation à don environnement. Une fois maitrisé, il sera redoutablement efficace.

Easy Social Share Buttons est payant mais c’est 14$ uniquement soit 10/11€ pour un plugin indispensable à tout blog social media. Vous pouvez lui préférer addthis qui lui est gratuit.

Lien vers le plugin : easy social share buttons

5. Arqam

Un autre plugin payant ! (Il faut bien en parler aussi) qui lui permet d’afficher les abonnés à vos réseaux sociaux, le nombre d’articles publiés, vos fil RSS, le nombre d’auteurs etc…

il est parfois intéressant de montrer que sa communauté est importante, active et que vous avez déjà publié un certain nombre d’articles au sein de votre blog. Ça renforce ainsi votre crédibilité auprès de vos lecteurs tout en donnant accès à vos liens sociaux.

Un petit plugin efficace offrant plusieurs paramétrages comme la personnalisation des boutons. Il est à 15$ également.

Lien vers le plugin : Arqam

Voilà pour notre petite liste. Ce n’est en rien exhaustif compte-tenu des milliers de plugins existants pour wordpress. Vous pourrez ajouter les vôtres en commentaire, et partager vos impressions sur ceux mentionnés si vous les connaissez ou si vous allez les tester.

Pour finir n’oubliez pas le fameux plugin Jetpack, qui regroupe à lui tout seul de nombreuses fonctionnalités, et qui permet à l’aide d’un tout-en-un de couvrir les principaux besoins.

Après-fan-gate-ReflexeMedia

L’après Fan-Gate ! Quels sont vos retours ?

Après un peu plus d’un mois d’interdiction du « j’aime » obligatoire pour les jeux-concours, quels sont vos retours ?

Début novembre marquait la fin du « j’aime obligatoire » mis en avant par les marques, pour leurs jeux-concours Facebook. Un moyen rapide de gagner des fans mais qui au final ne permettait pas un gain réel en terme d’engagement. Après plus d’un mois, qu’en est-il des marques, des entreprises et tout ceux ayant recours aux jeux-concours pour booster leur fan page ? Est-ce que les résultats sont décevants, est-ce que les parades fonctionnent ?…

Quels sont vos retours sur le sujet ?

ReflexeMedia poursuit peu à peu son chemin en proposant différents services pour les jeux concours sur votre site internet. Accessible depuis la plateforme de création de jeux-concours, ReflexeMedia permet de créer des campagnes personnalisées avec une compatibilité au niveau des mobiles, réel intérêt quand on sait que la mobilité gagne des parts de marché considérables au fil des mois. Demain on consultera principalement son smartphone pour une grande partie de nos usages de tous les jours; achats, réservations, conversations, partages, échanges et bien entendu la pratique assidue des réseaux sociaux. ReflexeMedia apporte ici un net plus pour les acteurs professionnels et la clientèle nomade.

Les coûts restent inchangés puisqu’ils restent à 35 € HT pour la création de votre jeu-concours, a cela n’oubliez pas votre règlement en ajoutant vos frais de dépôt chez huissier pour votre règlement. ReflexeMedia propose toujours une offre gratuite jusqu’au 31 décembre 2014, profitez-en rapidement.

OffreNoel

N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques sur votre perception des changements depuis la fin de la fan-gate. Avez-vous des idées à apporter, des remarques à formuler… à vous de nous donner vos avis en commentaires

 

Community-management-condamnation-ReflexeMedia

La condamnation du community management !

La condamnation du community management ! Quand tout devient payant… comment sortir de cette prison ?

Voilà que tout devient payant pour être vu… et le community manager, lui ! risque d’être mis à l’ombre

Animateur de communauté à perpétuité

Community-Manager-condamné

La bonne blague s’esclaffe le community manager ! J’aimerais bien faire un peu autre chose qu’animer dans le fond, car comment vendre la difficulté croissante de l’engagement ? Où cherchez la manne parmi les internautes connectés au réseau des réseaux ? tout devient payant pour être visible, et plus ça va, plus les faiseurs de la pluie et du beau temps du net s’y collent.  Aucun moyen d’être vu sans raquer un minimum, si ce n’est en utilisant intelligemment les réseaux sociaux, et via aussi son propre réseau de connaissances.

Comment ne pas être enfermé à perpétuité dans l’animation de communautés ? Il faut vite sortir de cette spirale avant que tout devienne payant, car les entreprises n’auront pas toute la main prête à dégainer le sou. Et le métier de community manager risque de prendre une claque si on ne se spécialise pas un peu vers le marketing digital et les notions de rentabilité de l’entreprise. Le fun,  c’est périodique et ce n’est pas qualitatif, sauf chez ceux qui maintiennent des gros budgets de communication, et encore ! Combien de temps va tenir l’histoire si on n’a pas de réels clients en face et un minimum de récurrence ? Faire acte de présence, oui mais jusqu’où ?

On voudra peut-être des community managers plus « intelligents », et sans doute avec un réseau personnel conséquent pour tenter un premier pas vers le like amical de bonne guerre (ça s’est vu)… et quoiqu’on en dise c’est omniprésent au quotidien ! Pure hypothèse ? néanmoins à y voir de plus près, la communication online prend et prendra la même direction que le print en terme de budget. Le gratuit commence vraiment à être relégué et les blogs n’adoptant pas de modèle économique qui rapporte au grand Google, se voient déjà peu à peu rétrogradés.

Les solutions restent minimes !

Même si elles existent, elles non plus ne sont sans doute pas gratuites. Il faut relativiser néanmoins car à choisir dans le monde du payant, autant le faire avec intelligence et que ça puisse rapporter un peu de lectorat en maximisant sa présence. C’est aussi ce que tout le monde souhaite, il faut donc être serein et réaliste… il faut écrire, travailler, être un peu créatif et apprendre par l’expérience et les erreurs. Il faut pousser un peu sur les réseaux où le partage est présent comme Twitter. Il faut apprendre à se tisser son réseau avec des profils tournant autour des thématiques abordées, et y privilégier surtout ceux qui assurent du partage en retweetant.

Petite parenthèse quand on cherche dans la gratuité et l’économie substantielle : S’il faut pousser un peu, certains parleront et feront ressortir le spam, le flood et que sais-je encore sur les pratiques marketing et celles assimilées, mais après tout ! si certains préfèrent payer au roi des réseaux de coquettes sommes d’argent pour un ciblage plus que moyen, ça les regarde. Il faudra juste éviter ainsi de crier sur les toits que tout système d’engagement, de gain de fans ou bien de recherche de likes, est bien mieux que de faire comme ceci ou comme cela ! Allons ! un peu de bon sens. Quel est le résultat ? Avez-vous un véritable engagement par la suite ? Vous payez pour des fans ? mais où sont-ils passés ensuite ? vous échanger des likes ? où passent les likeurs ? Où passe tout ce monde ? amis, likeurs de passage… tout est une différence entre gratuit et payant avec les mêmes êtres humains derrière, et le gain est parfois quasi nul ! Seuls les amis restent parfois les plus engagés ! Mais là se glissera aussi la critique.

En clair ! et si on regarde les résultats, ils ne sont pas meilleurs dans un cas ou dans un autre, c’est juste un combat entre le gratuit et le payant et les pratiques pros contre des pratiques jugées parfois inacceptables… bien que nombreux sont ceux qui les utilisent, sans le crier sur les toits !

Travailler sur le long terme… Tout le monde le dit, et à juste titre d’ailleurs…

…mais votre boss, il en pense quoi quand vous lui dites qu’il devra attendre un R.O.I. dans 1, 2 voir 3 ans ? C’est là qu’il faut évangéliser et savoir prendre position.

Les solutions semblent donc alors ailleurs que dans la précipitation… il faut de la patience et travailler sans esprit de compétition. Le manque à gagner se trouve dans l’évangélisation, dans le martèlement, non pas des les pratiques d’acquisition, mais dans la prise de parole pour faire état de la nécessité à travailler en profondeur et sur la durée. Ne pas attendre un résultat du jour au lendemain, sinon on a vite fait d’avoir recours aux stéroïdes du social media ou aux pilules miracles. Elles, qui rapporteront bien plus d’argent au passage à ceux qui se seront engouffrés dans leurs ventes… la critique leur passe au dessus de la tête depuis des lustres. Ils gagnent de l’argent en vous vendant du rêve, et vous, vous trimez ! c’est la triste vérité ! Elle se vérifie dans quasiment tous les domaines du business.

Alors pour sortir de prison…. attendez de purger votre peine dans la patience et vous verrez qu’au bout, vous finirez par émerger si votre travail s’inscrit dans la qualité et la durée

Contenu-ReflexeMedia

Comment aborder le contenu à diffuser pour un blog ?

Lancer un blog ! c’est bien, mais c’est pas forcément aussi simple qu’on ne le pense

Une fois le blog en ligne, comment aborder le contenu à diffuser ?

Blog-Reflexemedia

Voilà la question qui revient régulièrement après s’être lancé dans le blogging : Comment trouver le contenu idéal ?  Cependant il devrait normalement y avoir un plan ou une stratégie existante pour nous guider sur vos différents objectifs à atteindre. Parmi ceux-ci la ligne éditoriale à adopter, le lectorat à atteindre et la teneur des contenus à diffuser, et bien entendu comment les diffuser via ses réseaux sociaux entre autre.

Nous allons tenter de répondre à ces quelques questions pour vous aiguiller, et surtout pour ne pas tomber en panne d’inspiration en cours de route. Le contenu, on ne cherche pas à le produire en masse, mais il faut tout de même adopter une cadence pour capter son lectorat chèrement gagné.

Le choix de la ligne éditoriale

Qu’un blog soit professionnel ou « personnel », il doit répondre au minimum à une demande mais surtout à une ligne éditoriale . A ce stade vous l’aurez défini en amont selon votre thématique à mettre en avant. Si j’opte pour la thématique du social media, vous devrez adopter un regard, un point de vue depuis lequel vous rédigerez vos contenus. C’est à ce stade que l’on jugera de votre expertise sur le domaine retenu. Vous devez laisser apparaitre une spécialisation, une expertise qui montre votre expérience et votre vision claire du sujet.

Pour reprendre ce qu’est une ligne éditoriale, en voici une définition succincte :

Pour simplifier au maximum, la ligne éditoriale devra répondre à un ensemble de questions pour atteindre une cible définie.

1. Pourquoi dois-je créer un blog ? – La question fondamentale à laquelle il faudra répondre en premier lieu en intégrant tous les éléments à votre disposition et notamment le temps et la ou les personnes prête(s) à rédiger.

2. A qui s’adressera t’il ? – Ici c’est votre cible, votre futur lectorat

3. Qu’aurais-je à ma disposition ? Temps, hommes (rédacteurs)…

4. Quelle sera la fréquence de diffusion ? Ici vous déterminerez à quelle fréquence vous allez publier vos contenus, une ou plusieurs fois par semaine. Dans tous les cas, visez au minimum un article par semaine pour voir si vous tenez la cadence. Vous pourrez ensuite établir un calendrier, surtout si vous êtes plusieurs rédacteurs.

5. Quels seront les thèmes abordés ? Les thèmes à aborder devront contenir un dénominateur commun à votre activité pour ne pas dévier de votre cible. Vous pourrez définir plusieurs thèmes dans votre menu, mais ils devront respecter votre coeur de métier pour construire votre lectorat et le conserver.

Vous pouvez adopter ici le fameux Q.Q.O.Q.C.C.P. Outre le style de rédaction qui apportera une empreinte reconnaissable, la ligne éditoriale devra bien entendu correspondre à votre entreprise en terme de spécialisation. Êtes-vous dans la communication, le commerce, la logistique… vendez-vous des biens, des services… ?

En clair la ligne éditoriale devra vous ressembler, vous correspondre et mettre en avant votre expertise. N’oubliez pas qu’il n’est recommandé de ne parler que de soi-même, il faut savoir faire ressortir ses atouts intelligemment sans dénigrer qui que ce soit, ou en se mettant en avant.

Comment aborder le contenu ?

Infobésité-ReflexeMedia

C’est souvent lorsqu’on arrive à ce niveau que beaucoup abandonnent, et ce, après seulement quelques articles rédigés. Pourquoi ? Parce qu’aucun objectif n’a été défini en amont, et aussi parce que beaucoup se disent « il faut faire un blog parce que les autres en ont un » Ok ! mais un blog signifie qu’un contenu doit y être diffusé, et si ce point n’est pas respecté, arrêtez-vous tout de suite… avant même de créer quoique ce soit. Il ne s’agirait pas d’investir dans un support et le mettre à l’abandon dans les semaines ou mois qui suivent.

Si vous êtes prêt ! voyons alors quel genre de contenu produire pour tenir la cadence, et diffuser à peu près 2 articles par semaine, soit une centaine de posts par an. Plus vous viserez haut, plus vous devrez être vigilant sur la préparation de vos contenus et sur ce qu’ils renfermeront. Apprenez à alterner des types de contenu et voyez comment user de l’actualité pour rebondir dessus.

Pour démarrer :

1. Préparez 5 à 10 articles avant la mise en ligne définitive de votre blog.

Ne mettez pas en ligne un blog vide de contenu !

En préparant du contenu à l’avance pour le diffuser lors de la mise en ligne, vous allez premièrement offrir un choix de lecture en évitant l’impression d’un blog vide. Vous montrerez de prim’ abord que vous n’êtes pas forcément un débutant. Si vous couplez votre blog à des réseaux sociaux vous aurez ainsi la possibilité de créer un petit calendrier de diffusion via Twitter par exemple. Lors de la publication, vous pourrez espacer de 2/3 jours les dates de vos premiers posts pour annoncer une fréquence de rédaction.

2. Varier vos contenus

La variété des contenus aura pour effet de capter un lectorat plus large selon ce que vous aborderez. Mais pas seulement ! Il faut penser aussi à la mobilité qui grignote du terrain. C’est donc ici qu’il deviendra intéressant d’introduire des micros-contenus (snacking contenu), lorsque vous aurez à diffuser de l’actualité ponctuelle ou frapper une information sur laquelle rebondir.

– Contenu texte (articles)

Ce seront vos premiers contenus et ceux qui attireront principalement le plus gros de votre lectorat. C’est ici qu’il faudra définir une fréquence de publication à raison de 2 posts minimum par semaine (voir un si vous traitez d’articles de fond). Tenez ici la cadence.

– Contenu dossier

Le contenu sous forme de dossier est en général complet et plus profond. Il est en principe étayé par des exemples, des points stratégiques et apporte une vision d’ensemble sur un sujet. Il peut être traité en plusieurs parties pour éviter une lecture trop longue. Un billet comprenant 2000 mots par exemple, est déjà considéré comme relativement long… mais il peut à contrario se lire facilement si le sujet est captivant. Il est possible de créer un slide-share également, et inclure le lien dans un billet qui résumerait l’ensemble. Apporter un contenu par mois de ce type est très enrichissant, et cela pourra apporter une nouvelle audience à la recherche de sujets développés en profondeur.

– Contenu multimédia  

Un contenu multimédia comme les photos, ou mieux les vidéos assureront de la pérennité à votre blog. Une vidéo est régulièrement consultée et peut être couplée à une chaine YouTube, ce qui viralisera vos contenus en vous permettant d’élargir votre audience. Ne négligez pas ce point si vous avez la capacité à produite des vidéos. Les vidéos peuvent par exemple être des tutos, et elles resteront ainsi consultables à tout moment.

Les photos quant à elles sont toujours les bienvenues pour habiller vos posts ou traitées à part au sin d’un portfolio, elles apporteront un plus en offrant un peu de vie à votre blog. Elles peuvent être très personnelles ou bien encore rejoindre votre ligne éditoriale en prenant soin de trouver des illustrations comme des infographies, voir des dessins humoristiques qui apporteront une touche de fun. N’hésitez pas là aussi à en user, voir à mixer les différentes sources de contenus au sein de vos posts.

En conclusion

Vous l’aurez aisément compris, créer un blog c’est déjà un travail ! mais le plus dur reste à faire si on veut assurer sa pérennité et le développer avec un contenu publié régulièrement. Pour y parvenir il est primordial de varier ses contenus pour élargir son audience tout en restant dans sa ligne éditoriale. Mixer le fun et le professionnel est tout à fait envisageable si on en connait les frontières… et je ne parle pas ici de sites de buzz qui sont d’un tout autre genre.

Apprenez à vous connaitre et à rechercher sans cesse de l’inspiration au travers de vos veilles, de votre curiosité et en échangeant beaucoup avec vos connaissances, communautés etc… vous aurez ainsi rapidement des choses intéressantes à raconter avec une vision de votre expertise qui s’accroitra de jour en jour. Si vous tentez l’aventure collaborative, maitrisez-en les contours et soyez à l’écoute en définissant des règles. C’est un autre sujet mais tout autant passionnant.

A vos blogs ! et racontez-nous vos expériences de blogging, votre démarrage, comment votre blog a vécu dans le temps etc…

Snacking-Media-ReflexeMedia

Le snacking content ou le micro contenu

A l’heure où l’infobésité bât son plein sur le net, il est utile de penser à tout ce qui produit de l’impact rapidement 

Le snacking content ou micro contenu n’est pas un phénomène nouveau sur le net, aux États-unis on évoque régulièrement cette forme de contenu sous le terme de snacking media. Pour faire simple il s’agit de consommer un contenu comme on consommerait un plat rapide pour l’imager. Cela revient à dire que le contenu doit être court tout en frappant l’essentiel, comme le ferait une image, une courte vidéo ou un texte avoisinant les 250/300 mots en moyenne. Ces formes de contenus visent principalement la consommation rapide, un impact immédiat pour attirer l’oeil et ainsi prendre connaissance dudit contenu.

Infobésité-ReflexeMedia

A l’heure de la mobilité !

Pour répondre à la déferlante mobile, il va falloir adopter des solutions en matière de contenu ! Le snacking content a donc bien ici sa place pour répondre en matière d’infos à consommer rapidement. Tout ceci ne signifie pas que les contenus plus profond à valeur ajoutée vont disparaître… loin de là ! mais pour certains acteurs du web, il va falloir capter son lectorat différemment et créer de l’impact plus rapidement. Le contenu devra en venir au but de façon immédiate. La mobilité à cette particularité que quoiqu’il en soit, on n’oublie jamais son smartphone au dépend même de ses propres clés personnelles ou automobile. A ce titre il convient de souligner qu’on utilise son smartphone à différentes occasion lors de la journée, et il devient dés lors un puissant outil marketing pour les marques et la majeure partie des entreprises communiquant sur internet.

Mobilité-ReflexeMedia

Un internaute qui empruntera les transports en commun à raison d’1h à 3h par jour, verra en son smartphone un parfait allié pour tuer le temps et glaner quelques infos au passage. C’est ici que se jouera l’avenir du contenu mobile.

Avantages et inconvénients du snacking content

Si on peut facilement lui trouver des avantages, il n’en est pas moins qu’il demeure des inconvénients à cette forme de contenu. Le plus gros inconvénient serait qu’un micro contenu n’est par exemple pas adapté pour traiter des sujets profonds ou pour exposer des dossiers de recherche par exemple. Il conviendra de diffuser ces sujets selon un chapitrage, où chaque point à traiter fera l’objet d’un post. Certains sites procèdent comme cela depuis déjà des années, lorsqu’il s’agit en l’occurence de tests matériels. On découpe le test en différents points et on peut ainsi aller à l’essentiel si on ne s’intéresse qu’à une ou deux données par exemple. Cet inconvénient peut alors être transformé en avantage en quelque sorte.

Avantages

1. Lecture facilitée

2. Jouer sur l’image, la vidéo…

3. Exposer l’essentiel

4. Découpage de sujets importants…

5. Gagner un nouveau lectorat

Inconvénients

1. Difficulté de traiter un sujet en profondeur

2. Ne convient pas à tous les types de contenu

3. Perte de lectorat (attention à bien doser)

4. Frein à la rédaction pour certains profils

5. Déceler un manque de consistance

 

En conclusion

Le snacking content aura pour but principal de frapper rapidement le lecteur par l’attrait d’un contenu court allant à l’essentiel. Une image, une vidéo ou un texte aura pour mission de gagner le lecteur à ce format et plus particulièrement via les supports mobiles comme les smartphones ou les tablettes. Cette forme de contenu n’est surtout pas à négliger, comme pour toutes les actions gravitant autour comme les jeux-concours par exemple, les contenus interactifs et tout ce qui cherche à capter le lecteur.

En conclusion c’est un contenu qu’il faudra absolument adopter, et sur lequel il faudra également se former rapidement pour répondre aux codes du micro-contenu.

Community-Management-ReflexeMedia

Pensez sérieusement au community management !

Il est temps de se mettre au community management pour avancer dans le digital !

CM-Reflexemedia

Progresser sur le plan digital demande du temps et de l’investissement en humain. Rédiger du contenu, le diffuser, et suivre les courbes de progression de sa visibilité, sont à eux seuls des points indispensables pour soigner son image de marque et démarrer dane la sphère d’internet. On ne le répétera sans doute jamais assez, mais pensez sérieusement au pôle community management pour votre entreprise, même s’il vous semble que vous maitrisez internet, vous n’aurez pas le temps de tout superviser et de gérer seul votre société sans faire de très gros sacrifices.

Pourquoi le community management est important et doit être mieux compris ?

Avoir un community manager à ses côtés et miser sur son rôle aura pour conséquence de prendre au sérieux l’empreinte digitale de votre entreprise, mais pas que ! Toute entreprise désireuse de se lancer sur internet afin de diffuser son offre de produits et/ou services, nécessitera plusieurs axes à déployer pour parfaire son entrée sur la toile.

En premier lieu il conviendra de définir ses objectifs et d’identifier ses besoins pour y parvenir. Viendra ensuite le développement d’une stratégie pour avoir une ligne de conduite et savoir quelle direction prendre parmi les choix qui s’offriront à vous. Il sera par exemple indispensable d’opter pour les réseaux sociaux qui vous apporteront de la visibilité en rapport de votre expertise… Facebook sera t’il adapté, Twitter répondra t’il à vos exigences ? etc… Toute cette partie sera à travailler conjointement avec votre community manager si vous n’avez pas une grosse structure avec des services communication et/ou marketing. C’est ici que le rôle d’un community manager prendra toute son ampleur.

Il est donc important d’avoir cet atout au sein de votre société, afin de vous guider sur votre stratégie digitale et ensuite de la déployer sur les différents supports retenus. Le community manager pourra ensuite créer du contenu et le diffuser pour démarrer votre présence et vous assurez de la visibilité au fil du temps. Il pourra ainsi suivre l’évolution du travail mis en place et pourra vous conseiller sur des ajustements, et éventuellement sur des actions à mettre en place comme des jeux-concours via Facebook qui vous permettront de gagner vos premiers fans. N’hésitez pas à consulter notre offre à ce sujet : ReflexeMedia.

Comment mesurer un retour sur investissement ?

Le ROI est toujours un sujet épineux à aborder dans le digital, parce que d’une part vous avez des responsables qui cherche à obtenir un résultat rapide, et de l’autre côté des chef de projets ou autres personnes qui ne parviennent pas à mesurer réellement le ROI dans le digital. Pour mesurer un ROI, il est donc impératif de définir des objectifs en amont, et on ne parle pas ici d’objectifs commerciaux ou d’un certain chiffre à réaliser. Il est important de ne pas lier votre community manager à la performance pour éviter une course effrénée au chiffre, qui manquerait de qualifier son travail en privilégiant un résultat coute que coute.

Un ROI ça vaut aussi pour des objectifs de présence, de gain d’abonnés, de fans… sur les réseaux sociaux que vous aurez retenu pour mettre en avant votre expertise.

Exemple :

Le community manager aura pour objectif de rédiger 8 contenus par mois, soit 2 par semaine. A cela s’ajoute leur diffusion via les différents réseaux sociaux avec un objectif de gain d’abonnés que l’on pourrait fixer entre 100 et 200 par mois sur Twitter et peut-être 100 sur Facebook hors actions de jeux-concours jusque-là.

Déterminer une phase d’interaction pour ouvrir le dialogue et rechercher les intérêts de vos fans en les amenant à participer à la vie de votre communauté (Fan page Facebook, Twitter…) En partageant vos posts sur Twitter et sur Facebook, vous pourrez suivre également l’évolution des visites sur votre site et voir comment elles évoluent d’un mois sur l’autre. Voyez si des interactions se font sur d’éventuels Call-To-Action que vous auriez mis en place pour télécharger des livres blancs par exemple ou pour s’abonner à une newsletter. Toutes ces actions et leurs suivis sont tout à fait dans la lignée d’un ROI dans le digital. Si vous atteignez vos objectifs tels que ceux définis en amont, alors votre community manager est rentable et il participera bien à l’évolution de votre entreprise afin de la faire connaitre, et de lui assurer une visibilité sur le terrain du net.

En conclusion

Ne négliger pas le rôle d’un community manager quand vous décidez de faire d’internet un nouveau terrain pour développer votre business, ou tout simplement pour travailler votre présence, la redresser, l’améliorer, la maximiser… il y a beaucoup d’axes possibles à travailler en community management. Il faut bien intégrer que c’est un poste qui consomme du temps et donc de l’énergie, et seul on ne peut parvenir à des résultats qualitatifs sans un appui sur lequel compter pour son développement.

Pensez-y sérieusement ! le community management est la solution à un véritable travail de fond sur internet pour vous développer

Mobilité-objets-connecté-ReflexeMedia

La mobilité et les objets connectés à surveiller !

Dans un monde où tout va très vite, il est de rigueur d’être en veille sur des secteurs très porteurs et qui risquent de modifier les modes de communication… parmi ceux-là : la mobilité et les objets connectés.

Si nous en venons à penser que la mobilité et les objets connectés n’ont pas lien avec le social media, détrompons-nous ! ils risquent fort de bouleverser à nouveau nos modes de communication et par dessus tout notre façon de consommer. Les objets connectés peuvent faire encore figure de gadgets pour certains d’entre-eux, mais si nous resserrons jusqu’aux beacons et i-beacons, ces petits émetteurs risquent bien de changer notre perception sur le business du e-commerce et du commerce tout court. C’est un peu comme si 2 univers opposés par leurs milieux, finissaient par se rejoindre. Si la consommation de produits et/ou services sur le net a explosé, il était peu probable que les commerces de proximité tirent avantage de la situation. Avec l’arrivée de ces petits émetteurs, le business pourra certainement vivre un second souffle… c’est ça le monde connecté !

Mobilité, objets connectés et social media !

Ces univers restent et resteront très liés entre eux dès lors que le net interfèrera et jouera un rôle important dans la communication et la diffusion de contenu. La mobilité a beaucoup d’avantages de par son principe même d’être mobile, on peut aujourd’hui emporter un smartphone et/ou une tablette partout. Il suffit d’un accès WiFi et nous voilà connecté depuis un restaurant, un hôtel, une terrasse de café ou en plein coeur d’un lieu public. Nous pouvons travailler depuis n’importe quel endroit sur la surface du globe, dès l’instant ou un simple réseau WiFi traverse le paysage… nous voilà dans un monde ultra connecté, où il ne manquait plus que des addons (plugins) pour venir se relier à nos outils mobiles.

Les objets connectés nous permettront de rester relier entre nous, avec des outils enregistrant nos performances sportives, nous alertant de faits et gestes, nous conduisant d’un point A vers un oint B etc… ils seront notre quotidien, et avec ça de nouveaux modes de communication se révéleront et auxquels ils nous faudra nous adapter. Les micros-contenus ou snacking-content seront de la partie… et pourquoi pas des modes de jeux-concours simplifiés allant à l’essentiel. Bien que tout parvient à devenir responsive design et adapté à nos mobiles, il reste tout de même à travailler maintenant sur le contenu, et à l’adapter à nos différents écrans aux différentes résolutions. On semble tendre vers le full HD, mais tous ne sont pas encore équipés sur ce format, il reste encore du travail pour renouveler les outils des consommateurs, mais ça viendra avec le temps.

Un univers à surveiller

Nous comprenons ainsi que ce sont les secteurs à surveiller ces prochains mois et ces prochaines années. Ils seront des vecteurs d’embauches à n’en pas douter, car de nombreux critères seront à redéfinir. Développeurs d’applications et community managers  seront des postes clés si on observe les tendances dans le digital. Restons ainsi en veille et formons-nous davantage à ces outils pour prévenir des changements qui vont survenir dans très peu de temps.

Que pensez-vous de tout ce petit monde connecté… est-ce néfaste selon vous ou est-ce ça apporte un réel changement dans nos vies ?

CM-ReflexeMedia

Le community manager doit-il évoluer ?

Le community manager ! ça fait déjà un moment qu’on dit que c’est un métier nouveau, un métier indispensable pour les marques qui communiquent sur le net (cad quasiment toutes) un métier qui va évoluer, un métier qui va se tourner vers l’avenir avec la montée du digital… etc… etc… Bilan ? Est-ce que le community management doit évoluer pour sortir un peu du cadre actuel et se refaire une santé, et attirer vraiment les sociétés en manque d’information sur ce rôle majeur pour les acteurs du net ?

Il est temps que le community management prenne un véritable envol !

Je pense qu’il serait temps que les choses évoluent si on veut voir plus de CDI habiller les jobboards de la toile ! Pour l’instant c’est maigre et on n’ose presque plus prendre connaissance d’une annonce, qui parfois tente même de dissimuler au postulant qu’il s’agit d’un stage. Fini de raconter aussi que le stagiaire pourra se voir confier un vrai poste en fin de mission… Les stagiaires semblent bien plus faire le bonheur des startups, qui n’ont que quelques euros à verser au bon samaritain du net ! Pour le reste passez votre tour, ou sinon armez-vous de patience, et soyez prêt avec un solide bagage ! Comment ça vous n’avez pas de bagage ! vous démarrez le métier et vous ne justifiez pas de 5 ans d’expériences minimum ? mais pourquoi donc persévérez alors ?

Peut-on rire de cela ? j’en doute fort si on se plait à être sérieux 5 minutes. Pourquoi avoir fait tant de tapage autour d’un métier qui peine à être reconnu dans notre pays, qui semble même être excommunié par la reconnaissance.

Alors oui ! le community management doit évolué si il ne veut pas perdre des plumes en route, et à ce titre il devrait profiter du décollage en trombe de la mobilité, et se laisser porter vers de nouveaux cursus florissants à la porte des grandes écoles. Est-ce là le mieux que l’on puisse espérer ? A moins de se lancer comme un bon indépendant dans une profession qui en recense déjà un bon paquet ! C’est certes une belle aventure avec un cap à surmonter, et si l’évolution du métier s’apprend ainsi plus facilement an mode entrepreneur, il ne faut pas négliger cette voie.

Vers quelle direction faire évoluer le community management ?

Si on observe un peu les tendances, les nouvelles technologies et les marques qui réinventent la communication, on aura ici un panel suffisamment large d’idées pour voir où peu aller le community management pour évoluer, ou au moins se spécialiser autour d’une discipline.  La mobilité est un de ces vecteurs porteur pour le community management, et j’ai eu l’occasion d’en parler à plusieurs reprises pour monter qu’il y a un véritable potentiel dans les contenus d’un nouveau genre, le marketing mobile et les actions autour de l’évènementiel. Rien n’empêche le community manager de se forger une e-réputation, de saisir sa plume et de montrer sa spécialité, ses idées, partager sa vision du métier et plus encore le vivre par passion en le transmettant à d’autres. On estime qu’un community manager sait au minimum rédiger ! et à ce titre je trouve dommage que beaucoup n’utilisent pas ce talent pour partager. Si il y a bien un moment où faire état de son métier, c’est au travers de l’écrit au sein d’un blog qu’il soit collaboratif ou personnel. C’est un terrain d’entrainement, une formation et en même temps un moyen d’expression apprécié des recruteurs.

Pour reprendre il est donc essentiel que le community manager évolue… non pas en compétences pour en ajouter d’autres ! mais plutôt en cherchant la spécialisation, à la vue des nouvelles tendances qui pointent le bout de leur nez ! La mobilité, c’est un fait établi que ce sera un marché porteur et où il y aura des recrutements ! il faut être positif et y croire, sinon à quoi bon poursuivre. Maintenant que le community manager tend de plus en plus vers le marketing digital, il est aussi temps pour les premiers CM de rééquilibrer ses compétences. Pratiquer des outils dédiés aux métriques et apprendre un peu plus le ROI sur des actions digitales, aideront certainement à avoir un discours plus aiguisé. En clair même si le CDI n’est pas là, il faut continuer à se former, à apprendre et à réseauter pour faire circuler son CV.

La direction semble donc être la mobilité, le marketing mobile et donc les contenus adaptés aux smartphones. Il y a certainement d’autres pistes, mais voici les évolutions possibles.

Twitter-ReflexeMedia

Twitter reste notre meilleur allié social media !

Chaque business se doit d’avoir un modèle économique pour assurer sa pérennité ! et c’est la même chose pour nos chers réseaux sociaux

Fort heureusement pour nous, il y a des sociétés qui pendant quelques années nous offrent la gratuité de leurs services. Ensuite il est tout à fait légitime et logique pour elles de basculer sur un modèle payant, afin de continuer à exister sur la toile. Ce sont nos vilaines habitudes à la gratuité qui sont bousculées, lorsqu’elles changent et deviennent payantes ça irrite un peu le portefeuille !

Ce qu’il en est de Facebook

La problématique avec les réseaux sociaux, c’est que la gratuité nous a toujours permis jusqu’ici de partager et de nous assurer un minimum de visibilité. Et à présent il semble que ce temps soit révolu, il est de mise depuis quelques temps maintenant de mettre la main au porte-monnaie pour tout juste être vu ! un comble si on considère qu’au sein d’un réseau social, on a un cercle d’amis envers qui on aimerait bien demeurer visible sans avoir à tripoter un tas de réglages. Bon d’accord ! tous ne sont pas de vrais amis au sens propre du terme, mais tout de même ! Certains ont construit leur propre réseaux de connaissances, de socio-profils qui leur ressemble, et j’en passe !

Au bout du compte on s’attend tout de même à mettre un pied dans leur champ de vision… sauf que ! il en est tout autrement avec les nombreux changements qu’opère le réseau des réseaux. On affine les centres d’intérêts de chacun, on masque par défaut des éléments… et au final on appâte l’internaute avec un vaste territoire, où se côtoient plus d’un milliard de personnes avec des données qui les différencient en de nombreux points. Toutes ces années ont pu permettre de recenser les besoins, les désirs, les affinités, les gouts etc… etc… de chacun des membres de Facebook ! Maintenant que c’est stocké, il va falloir raqué pour aller voir être montré à ton voisin et la communauté des gens qui t’intéressent. Super ! Mais après tout, il faut bien gagner sa vie et monnayer son business pour être rentable et poursuivre l’accès à un vaste univers de services qu’offre Facebook à ce jour.

Au final ! rien à dire. C’est tout à fait normal, sauf que ça ne nous arrange pas quand on compte sur ce réseau pour vivre également.

Quel serait l’alternative pour s’offrir un peu de visibilité ?

Au niveau des réseaux sociaux, il y en a encore qui assurent une bonne visibilité pour les internautes de tout horizon ! si nous devions en retenir un parmi les nombreux existants, je dirais que ce serait Twitter. Le réseau social à l’oiseau bleu est encore celui qui ne ferme pas les portes au partage et à la visibilité, bien que cela puisse changer mais j’en doute vu qu’il n’est pas encore pleinement rentable en l’état. On pourrait parler de Google Plus mais j’ai peur qu’il soit plus restreint qu’on ne veuille bien le dire. Vous êtes automatiquement titulaire d’un compte Google Plus dès lors que vous possédez une adresse GMail… ce n’est donc pas très représentatif au final. Je dirais que les communautés sont par contre assez intéressantes, mais elles ne sont pas non plus destinées à partager de la même manière qu’une page.

Je reste donc sur Twitter, comme étant notre meilleur allié social media.

Twitter ! idéal pour partager et gagner en visibilité…  gratuitement !

Twitter demeure ce réseau social où il est encore possible de se constituer une base de contacts, sans avoir une limite fixée à 5000 où je ne sais combien d’abonnés. Chacun est libre de suivre qui il veut et réciproquement. Certes Twitter possède son modèle économique, mais il est encore loin d’être rodé tant son algorithme peine à distinguer les centres d’intérêts des profils. Faites l’essai d’allouer un petit budget pour récupérer des abonnés… vous serez surpris de constater qu’il est parfois plus pertinent d’acheter des abonnés ! j’exagère un peu mais il faudrait étudier la complexité à ressortir les centres d’intérêts sur Twitter, car un fil est ouvert et tout le monde y accède, sauf qu’il est possible que l’algorithme s’approprie un abonnement alors qu’il est volontaire et direct.

En Conclusion

Twitter a encore de beaux jours devant lui et c’est tant mieux pour nous ! Partager ses contenus doit pouvoir se faire à un endroit ou un autre gratuitement si on veut que des flux d’infos soient générés et accessibles à tous. Nombres d’acteurs font payer leur contenu, d’autre la visibilité, mais au final c’est l’accès à l’information qui nous importe et inversement le partage de notre information. Avec Twitter, on a un réseau social qui depuis le début nous assure partage et visibilité, et même si un modèle économique existe, il ne pénalise pas pour l’instant les internautes qui diffusent du contenu. Twitter reste donc notre meilleur allié social media.